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Critique de thisou08
L'auteur a effectué un travail de recherche admirable et exhaustif, cartes géographiques à l'appui.
Elle nous montre l'exploratrice dans tous ses états et sans aucune concession.
C'est, certes, une personnalité exceptionnelle, mais égocentrique, orgueilleuse, autoritaire.
Je crois qu'elle ignore ce que veut dire aimer(sauf elle-même).
C'est l'impression que j'avais déjà éprouvée lorsque j'avais lu "Grand Tibet et vaste Chine" qui regroupe ses différents récits.
Les "autres" sont là pour la servir et en premier lieu, son mari (bonne pâte, ou content d'en être débarrassé ?). Ce mariage est d'ailleurs l'une des nombreuses contradictions de sa personnalité.
Ensuite, Aphur Yongden qui lui est entièrement dévoué, puisqu'en tant que bouddhiste, il l'a choisie comme Maître. Elle l'adopte, pour être sûre de l'avoir toujours sous la main. Je n'invente pas, c'est elle qui le dit : "Par intérêt personnel".
Et, enfin, Marie-Madeleine dont elle fit son "esclave consentie" (dixit la-dite esclave)
Et, tout au long de ses voyages, elle n'hésitera pas à mettre à contribution tous ceux qui peuvent servir son but, donc elle-même.
Je l'admire, certes. Son parcours, surtout à cette époque, est exceptionnel, mais je ne l'aime pas.
Elle nous montre l'exploratrice dans tous ses états et sans aucune concession.
C'est, certes, une personnalité exceptionnelle, mais égocentrique, orgueilleuse, autoritaire.
Je crois qu'elle ignore ce que veut dire aimer(sauf elle-même).
C'est l'impression que j'avais déjà éprouvée lorsque j'avais lu "Grand Tibet et vaste Chine" qui regroupe ses différents récits.
Les "autres" sont là pour la servir et en premier lieu, son mari (bonne pâte, ou content d'en être débarrassé ?). Ce mariage est d'ailleurs l'une des nombreuses contradictions de sa personnalité.
Ensuite, Aphur Yongden qui lui est entièrement dévoué, puisqu'en tant que bouddhiste, il l'a choisie comme Maître. Elle l'adopte, pour être sûre de l'avoir toujours sous la main. Je n'invente pas, c'est elle qui le dit : "Par intérêt personnel".
Et, enfin, Marie-Madeleine dont elle fit son "esclave consentie" (dixit la-dite esclave)
Et, tout au long de ses voyages, elle n'hésitera pas à mettre à contribution tous ceux qui peuvent servir son but, donc elle-même.
Je l'admire, certes. Son parcours, surtout à cette époque, est exceptionnel, mais je ne l'aime pas.
