>
Critique de cecille
Je poursuis ma découverte des auteurs édités jadis par les éditions du Reflet ! (Pierrick Tillet, aujourd'hui co-fondateur des Éditions du Yéti)
L'auteur Australien Robert Dessaix n'était pas encore vraiment connu en France, quand une amie des éditeurs du Reflet vient leur présenter cette plume bien particulière !
Sans hésitation, ils décident alors de le publier en France !
"Quelques mois avant les Jeux olympiques de Sydney, Bernard Pivot part en Australie pour « Bouillon de culture » et présente avec enthousiasme Une mère et sa honte de Robert Dessaix. le livre est salué, les journalistes font le voyage à Trouville. le Reflet sort de l'ombre." (cf le monde 2 mars 2001) "
Voilà pour la petite histoire ........
A mon tour je viens donc de lire Une mère et sa honte traduit de l'Australien par Ninette Boothroyd.
Le livre s'ouvre sur une scène au Caire, en 1984, quand trois jeunes agressent le narrateur.
Tout commence comme un roman et au fil des pages, c'est davantage un récit développant des thèmes bien précis qui sont exposés. Des thèmes chers à l'auteur et sensiblement très proches. le narrateur est-il l'auteur ? Vraisemblablement ! Des passages très touchant à propos de l'homosexualité, l'adoption, les études littéraires et linguistiques en Russie....soulèvent de belles réflexions.
Je me suis laissée portée par ces pages, cette vie d'un homme blessé, en quête..... livrant ce qui a de plus intime en son coeur comme dans son corps.
L'auteur Australien Robert Dessaix n'était pas encore vraiment connu en France, quand une amie des éditeurs du Reflet vient leur présenter cette plume bien particulière !
Sans hésitation, ils décident alors de le publier en France !
"Quelques mois avant les Jeux olympiques de Sydney, Bernard Pivot part en Australie pour « Bouillon de culture » et présente avec enthousiasme Une mère et sa honte de Robert Dessaix. le livre est salué, les journalistes font le voyage à Trouville. le Reflet sort de l'ombre." (cf le monde 2 mars 2001) "
Voilà pour la petite histoire ........
A mon tour je viens donc de lire Une mère et sa honte traduit de l'Australien par Ninette Boothroyd.
Le livre s'ouvre sur une scène au Caire, en 1984, quand trois jeunes agressent le narrateur.
Tout commence comme un roman et au fil des pages, c'est davantage un récit développant des thèmes bien précis qui sont exposés. Des thèmes chers à l'auteur et sensiblement très proches. le narrateur est-il l'auteur ? Vraisemblablement ! Des passages très touchant à propos de l'homosexualité, l'adoption, les études littéraires et linguistiques en Russie....soulèvent de belles réflexions.
Je me suis laissée portée par ces pages, cette vie d'un homme blessé, en quête..... livrant ce qui a de plus intime en son coeur comme dans son corps.
