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Critique de vacher965
L'Intendresse de Valentin Deudon sera de mon bagage, partout emmené, comme un ami ou comme un frère et j'y puiserai un peu chaque jour. J'ai l'impression de partager sa part d'humanité.
Un titre poignant, servi par une première de couverture épurée. Une prosodie des mots, une ligne d'itinérance qui pourrait être tienne. Un chemin, une route, des paysages qui défilent au rythme "cycliste-cyclique" d'un voyage d'une poésie intime qui fait mouche. Elle te touche, parfois au-delà de tes propres limites. Cette mise à nu devient le reflet de ton propre miroir, tout comme ces photos, glissées là comme un prolongement. La souffrance se sait, se porte, se sublime. Elle ne laisse plus place aux subterfuges ou faux-fuyants. de la sincérité dite, toute de simplicité vraie, dans le plus grand dénuement parfois, naît sa beauté et devient art. L'Intendresse nous emporte hors du temps dans l'universalité de l'être. Elle nous fait découvrir un chemin d'une rare et délicate beauté avec pudeur, authenticité, honnêteté et courage. Alors, merci.
Alice
Un titre poignant, servi par une première de couverture épurée. Une prosodie des mots, une ligne d'itinérance qui pourrait être tienne. Un chemin, une route, des paysages qui défilent au rythme "cycliste-cyclique" d'un voyage d'une poésie intime qui fait mouche. Elle te touche, parfois au-delà de tes propres limites. Cette mise à nu devient le reflet de ton propre miroir, tout comme ces photos, glissées là comme un prolongement. La souffrance se sait, se porte, se sublime. Elle ne laisse plus place aux subterfuges ou faux-fuyants. de la sincérité dite, toute de simplicité vraie, dans le plus grand dénuement parfois, naît sa beauté et devient art. L'Intendresse nous emporte hors du temps dans l'universalité de l'être. Elle nous fait découvrir un chemin d'une rare et délicate beauté avec pudeur, authenticité, honnêteté et courage. Alors, merci.
Alice
