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Critique de MeguymegInBooks
Pure addiction à cette romance aussi déjantée que son titre. Voilà c'est dit !
Que des tropes qui amènent leur lot d'humour et d'amour, savant mélange d'enemies-to-lovers x childhood crush x grumpy-to-sunshine x forced proximity x one bed.
J'ai tout aimé, des ref aux shojos jusqu'aux essayages dans la friperie où les différences sociales n'avaient plus lieu d'être, Aaron comprenant que Mya n'était pas qu'une gamine superficielle.
Il y a aussi la notion de temporalité. Les sentiments confus d'Aaron face à une Mya trop jeune étaient touchants et la nécessité de laisser passer les années pour enfin se trouver encore plus belle.
Puis vient la quantité de remarques grivoises, parfois salaces -aucun doute, ça y allait franco- et pourtant, je n'ai jamais ressenti de gêne. Les dialogues glissaient sur ma langue avec une déconcertante facilité et j'ai passé 400 pages à me tenir les côtes. C'est la magie d'Aaron et Mya. En couple, ils rayonnent et vous embarquent sans vergogne au passage, vous obligeant à être heureux, vous aussi.
Maintenant, les persos. Déjà Mya -mon prénom favori, ça compte !- est un vrai petit bout de femme. Elle a beau s'être perdue soi-même en chemin, elle est pleine de ressources.
Et Aaron... Est-ce le prénom qui donne cette aura de mec idéal ? A moins que ce ne soit sa façon d'appeler Mya Princesse, soi-disant pour se moquer -ben voyons on y croit- OK peut-être que les abdos et les boucles brunes jouent aussi ou le côté protecteur du garçon. Parce qu'on est d'accord Aaron, on ne touche pas à Princesse !!
Et Jade, l'amie de toujours, elle est juste le pompon sur la Garonne. Mais je vous laisse la surprise de ce Minipouss un brin taré.
Bref, je pourrais en parler des heures, j'"ai eu l'impression que ce livre était écrit pour moi. Ah oui, un dernier truc... Je ne verrai plus jamais Babar comme avant. C'est tordue une trompe, non ?!
Que des tropes qui amènent leur lot d'humour et d'amour, savant mélange d'enemies-to-lovers x childhood crush x grumpy-to-sunshine x forced proximity x one bed.
J'ai tout aimé, des ref aux shojos jusqu'aux essayages dans la friperie où les différences sociales n'avaient plus lieu d'être, Aaron comprenant que Mya n'était pas qu'une gamine superficielle.
Il y a aussi la notion de temporalité. Les sentiments confus d'Aaron face à une Mya trop jeune étaient touchants et la nécessité de laisser passer les années pour enfin se trouver encore plus belle.
Puis vient la quantité de remarques grivoises, parfois salaces -aucun doute, ça y allait franco- et pourtant, je n'ai jamais ressenti de gêne. Les dialogues glissaient sur ma langue avec une déconcertante facilité et j'ai passé 400 pages à me tenir les côtes. C'est la magie d'Aaron et Mya. En couple, ils rayonnent et vous embarquent sans vergogne au passage, vous obligeant à être heureux, vous aussi.
Maintenant, les persos. Déjà Mya -mon prénom favori, ça compte !- est un vrai petit bout de femme. Elle a beau s'être perdue soi-même en chemin, elle est pleine de ressources.
Et Aaron... Est-ce le prénom qui donne cette aura de mec idéal ? A moins que ce ne soit sa façon d'appeler Mya Princesse, soi-disant pour se moquer -ben voyons on y croit- OK peut-être que les abdos et les boucles brunes jouent aussi ou le côté protecteur du garçon. Parce qu'on est d'accord Aaron, on ne touche pas à Princesse !!
Et Jade, l'amie de toujours, elle est juste le pompon sur la Garonne. Mais je vous laisse la surprise de ce Minipouss un brin taré.
Bref, je pourrais en parler des heures, j'"ai eu l'impression que ce livre était écrit pour moi. Ah oui, un dernier truc... Je ne verrai plus jamais Babar comme avant. C'est tordue une trompe, non ?!
