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Critique de Atasi
Pagli, surnom qu'on a attribué à Daya et qui signifie folle, est venue vivre à Terre Rouge après son mariage avec cet homme répugnant, ce cousin qui l'a violé alors qu'elle n'avait que treize ans.
Mais aujourd'hui, son cœur bat pour Zil, un thonier qui passe sa vie en mer, tout comme Licien, le mari à Mitsy, sa seule amie sur cette terre couleur rouge sang.
Zil a été un coup de foudre, et grâce à lui, sa bonté, sa tendresse, sa générosité et toutes les qualités qu'elle lui attribue, elle sait que l'amour existe.
Mais Pagli s'aventure sur une pente dangereuse et dans un petit village, une rumeur peut se propager vite, surtout si cela concerne une femme qui commet l'adultère.
"Pagli" est une longue narration, un cri d'une femme pour l'homme qu'elle aime avant qu'il ne soit trop tard. Elle débite ainsi tout ce qu'elle ressent au plus profond d'elle, la haine pour la vie avant lui, sa renaissance, ce nouveau goût qu'elle a pour la vie et les projets dont elle rêve et qui lui était impossible avant. "Pagli" est bourré de métaphores et l'on frôle la prose. Mais encore faut s'accrocher au personnage, à ses plaintes, à ses gémissements et c'est là que pour moi ça coinçait.
Lien : http://atasi.over-blog.com/2..
Mais aujourd'hui, son cœur bat pour Zil, un thonier qui passe sa vie en mer, tout comme Licien, le mari à Mitsy, sa seule amie sur cette terre couleur rouge sang.
Zil a été un coup de foudre, et grâce à lui, sa bonté, sa tendresse, sa générosité et toutes les qualités qu'elle lui attribue, elle sait que l'amour existe.
Mais Pagli s'aventure sur une pente dangereuse et dans un petit village, une rumeur peut se propager vite, surtout si cela concerne une femme qui commet l'adultère.
"Pagli" est une longue narration, un cri d'une femme pour l'homme qu'elle aime avant qu'il ne soit trop tard. Elle débite ainsi tout ce qu'elle ressent au plus profond d'elle, la haine pour la vie avant lui, sa renaissance, ce nouveau goût qu'elle a pour la vie et les projets dont elle rêve et qui lui était impossible avant. "Pagli" est bourré de métaphores et l'on frôle la prose. Mais encore faut s'accrocher au personnage, à ses plaintes, à ses gémissements et c'est là que pour moi ça coinçait.
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