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Critique de Colibrille
L'univers de Samurai est assez masculin. Dans ce septième tome, les auteurs rééquilibrent la balance en insérant de nouveaux personnages féminins comme Sayuri et son impitoyable maîtresse. le personnage de Sayuri, jeune servante, est d'ailleurs l'occasion pour les auteurs d'agrémenter leur récit d'aventure musclé d'une touche de romance. Takeo et Sayuri vont en effet s'éprendre l'un de l'autre. Personnellement, ce nouveau développement n'est pas pour me déplaire car il permet de nuancer un peu le récit, d'y mettre une (très) légère pointe de tendresse. de plus, il est étonnant de voir Takeo l'esprit dans le vague à cause d'une femme !
Par ailleurs, ce tome marque un changement de ton dans les dialogues. La présence d'Akio au côté de son frère apporte une touche d'humour agréable.
Ce septième tome nous en apprend également plus sur le passé d'Akio.
bref, vous l'aurez compris, il s'en passe des choses dans ce troisième cycle !
Par ailleurs, ce tome marque un changement de ton dans les dialogues. La présence d'Akio au côté de son frère apporte une touche d'humour agréable.
Ce septième tome nous en apprend également plus sur le passé d'Akio.
bref, vous l'aurez compris, il s'en passe des choses dans ce troisième cycle !
