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Critique de ramettes
Je vous le dit tout de go... Mon diablotin et moi sommes tombés en amour devant cet album et la voix de Mamadou Diallo ! Un bon conteur qui fait toutes les voix. Lors de l'enregistrement il devait y avoir du public car on entend fuser des petits rires... et nous n'avons pu nous empêcher nous aussi de rire. D'ailleurs maintenant on s'envoi des "je casse mes gnioules" (noix d'Afrique) lorsqu'on veux faire rire l'autre.
La construction avec des répétitions avec variantes entraîne le lecteur et spectateur dans une espèce de ritournelle où il devine la prochaine réplique avant de passer à une autre scène. de plus les variantes dans les réponses sont l'occasion d'introduire d'autres personnages.
Les illustrations ressemblent à des tableaux, elle utilise plusieurs techniques parfois on dirait des collages. Il y a une grande recherche esthétique en même temps que beaucoup de simplicité. Regardez Diabou Ndao sur la couverture avec une rangée de dent extraordinaire et on sent combien cette petite coquine a pris plaisirs à faire sa farce !
Le format laisse de la place au texte. Les illustrations pleine page permettent de nous plonger dans cette histoire.
La scène avec le lion je ne peux vous la raconter mais elle est cocasse et comme les aiment les petits. On joue à se faire peur en tournant en dérision ce qui effraie. C'est une scène très visuelle et très drôle.
Je n'ai pas compris la chute de l'histoire et cette fameuse farce qui la fait rire, mais emportée par l'histoire ça passe très bien.
En fin de livre une postface de Odile Journet-Diallo nous donne une explication sur une des thématiques de ce type de conte, que je vous laisse découvrir.
Lien : http://ramettes.canalblog.co..
La construction avec des répétitions avec variantes entraîne le lecteur et spectateur dans une espèce de ritournelle où il devine la prochaine réplique avant de passer à une autre scène. de plus les variantes dans les réponses sont l'occasion d'introduire d'autres personnages.
Les illustrations ressemblent à des tableaux, elle utilise plusieurs techniques parfois on dirait des collages. Il y a une grande recherche esthétique en même temps que beaucoup de simplicité. Regardez Diabou Ndao sur la couverture avec une rangée de dent extraordinaire et on sent combien cette petite coquine a pris plaisirs à faire sa farce !
Le format laisse de la place au texte. Les illustrations pleine page permettent de nous plonger dans cette histoire.
La scène avec le lion je ne peux vous la raconter mais elle est cocasse et comme les aiment les petits. On joue à se faire peur en tournant en dérision ce qui effraie. C'est une scène très visuelle et très drôle.
Je n'ai pas compris la chute de l'histoire et cette fameuse farce qui la fait rire, mais emportée par l'histoire ça passe très bien.
En fin de livre une postface de Odile Journet-Diallo nous donne une explication sur une des thématiques de ce type de conte, que je vous laisse découvrir.
Lien : http://ramettes.canalblog.co..
