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Critique de Catherine3193
Certaines critiques sont dures avec ce livre sur l'idée de base à savoir que le héros se fait appeler l'Ecrivain et se met en scène.
Pas d'accord.
Ce pavé de plus de 700 pages se lit d'une traite et je dois reconnaître avoir eu du mal à le lâcher sur la dernière ligne droite.
D'habitude, le policier commence par le meurtre ; ici, nous ne savons qu'à la fin qui est mort dans la chambre 622 de l'hôtel des Bergues et, encore plus tard, qui a tué. Ce n'est pas le plus important en fait. Ce qui compte ici c'est comment les personnages s'imbriquent.
Car, tous, s'inventent une vie : Anastasia, l'épouse, que la mère Olga pousse à un grand mariage pour sortir de la misère ; les Hansen, les cousins ; Lev Levovitch, dont on peut se douter qu'un nom pareil cache quelque chose et Caudaire, benêt ou pas...
Il est vrai que Lev est flamboyant mais je suis restée attachée à Caudaire Ebezner, l'héritier, avec sa pusillanimité...
Pas d'accord.
Ce pavé de plus de 700 pages se lit d'une traite et je dois reconnaître avoir eu du mal à le lâcher sur la dernière ligne droite.
D'habitude, le policier commence par le meurtre ; ici, nous ne savons qu'à la fin qui est mort dans la chambre 622 de l'hôtel des Bergues et, encore plus tard, qui a tué. Ce n'est pas le plus important en fait. Ce qui compte ici c'est comment les personnages s'imbriquent.
Car, tous, s'inventent une vie : Anastasia, l'épouse, que la mère Olga pousse à un grand mariage pour sortir de la misère ; les Hansen, les cousins ; Lev Levovitch, dont on peut se douter qu'un nom pareil cache quelque chose et Caudaire, benêt ou pas...
Il est vrai que Lev est flamboyant mais je suis restée attachée à Caudaire Ebezner, l'héritier, avec sa pusillanimité...
