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Critique de Zahardonia
Quand j'ai eu le livre en main, j'ai eu peur qu'il ne soit trop court pour traiter correctement le thèmes et l'intrigue.
Mais, finalement, j'ai été vraiment très agréablement surprise par ce roman qui traite de beaucoup de sujets forts tels que le droit à la différence, le consentement, l'inclusivité, la négligence parentale, l'émancipation et même l'embrigadement. Il est vrai qu'en tant qu'adulte j'aurais aimé que le livre pèse 200 à 300 pages de plus et traite ces thèmes plus en profondeur, mais ça n'aurait plus été de la littérature jeunesse...
Pour un livre destiné à un public jeune, ces sujets ont été traité avec justesse et pertinence et, surtout, de manière à ouvrir le dialogue. Ce qui, de mon point de vue de maman, est une excellente plus value pour ce livre.
De plus, les personnages sont très bien campés et l'autrice parvient à très bien les cerner en peu de mots.
Ce qui est, selon moi, la vrai force de ce roman est le style de Natacha Didry qui, par sa précision et sa concision, nous transmet énormément d'éléments et d'informations. Cela donne de la profondeur et de la consistance au roman. C'est également grâce à sa plume efficace que l'autrice développe une intrigue complexe, et même un univers élaboré, en peu de pages.
Cependant, pour moi, Vox a deux défauts :
1) Je suis restée sur ma faim par rapport à cette opposition "science vs magie" qui avait été annoncée dans le résumé et sur les réseaux.
2) Certains éléments de l'intrigue sont très (trop ?) prévisibles, selon moi.
En bref, un excellent premier roman que j'ai eu beaucoup de plaisir à lire. Je le conseille aussi bien pour le divertissement que pour ouvrir le dialogue avec nos jeunes (et peut-être même avec nos moins jeunes).
Mais, finalement, j'ai été vraiment très agréablement surprise par ce roman qui traite de beaucoup de sujets forts tels que le droit à la différence, le consentement, l'inclusivité, la négligence parentale, l'émancipation et même l'embrigadement. Il est vrai qu'en tant qu'adulte j'aurais aimé que le livre pèse 200 à 300 pages de plus et traite ces thèmes plus en profondeur, mais ça n'aurait plus été de la littérature jeunesse...
Pour un livre destiné à un public jeune, ces sujets ont été traité avec justesse et pertinence et, surtout, de manière à ouvrir le dialogue. Ce qui, de mon point de vue de maman, est une excellente plus value pour ce livre.
De plus, les personnages sont très bien campés et l'autrice parvient à très bien les cerner en peu de mots.
Ce qui est, selon moi, la vrai force de ce roman est le style de Natacha Didry qui, par sa précision et sa concision, nous transmet énormément d'éléments et d'informations. Cela donne de la profondeur et de la consistance au roman. C'est également grâce à sa plume efficace que l'autrice développe une intrigue complexe, et même un univers élaboré, en peu de pages.
Cependant, pour moi, Vox a deux défauts :
1) Je suis restée sur ma faim par rapport à cette opposition "science vs magie" qui avait été annoncée dans le résumé et sur les réseaux.
2) Certains éléments de l'intrigue sont très (trop ?) prévisibles, selon moi.
En bref, un excellent premier roman que j'ai eu beaucoup de plaisir à lire. Je le conseille aussi bien pour le divertissement que pour ouvrir le dialogue avec nos jeunes (et peut-être même avec nos moins jeunes).
