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Critique de Verdure35
M .Dugain qui connaît bien les arcanes de la politique livre ici une chronique qui peut ressembler à un conte moral.
Un homme jeune ayant travaillé dans une entreprise qui vise à rajeunir les individus(déjà un Futur conquérant qui fait froid dans le dos quand même) parvient grâce aux GAFAM à s'emparer du pouvoir en France et ce sans grande difficulté. du post-Macron en principe. Il cueille un fruit prêt à tomber et se met en tête de moderniser tout cela...comme un air de déjà vu !
Mais il se rend compte très vite qu'il n'est plus libre d'agir comme bon lui semble , et ce également dans sa vie privée. de vilaines histoires risquent de remonter à la surface.
M.Dugain excelle dans l'art de sonder le coeur ou la conscience des individus, et ici la conscience de ce jeune président est sérieusement malmenée.
Quel métier! et pourtant ils sont nombreux à rêver de ce poste: des masochistes c'est certain.
Il est plaisant d'imaginer les acteurs politiques présents ou relativement passés sous la plume de l'auteur, pas de noms réels mais des portraits.
Une atmosphère de deuil termine le récit du pouvoir, un peu trop abrupt il me semble.
Un homme jeune ayant travaillé dans une entreprise qui vise à rajeunir les individus(déjà un Futur conquérant qui fait froid dans le dos quand même) parvient grâce aux GAFAM à s'emparer du pouvoir en France et ce sans grande difficulté. du post-Macron en principe. Il cueille un fruit prêt à tomber et se met en tête de moderniser tout cela...comme un air de déjà vu !
Mais il se rend compte très vite qu'il n'est plus libre d'agir comme bon lui semble , et ce également dans sa vie privée. de vilaines histoires risquent de remonter à la surface.
M.Dugain excelle dans l'art de sonder le coeur ou la conscience des individus, et ici la conscience de ce jeune président est sérieusement malmenée.
Quel métier! et pourtant ils sont nombreux à rêver de ce poste: des masochistes c'est certain.
Il est plaisant d'imaginer les acteurs politiques présents ou relativement passés sous la plume de l'auteur, pas de noms réels mais des portraits.
Une atmosphère de deuil termine le récit du pouvoir, un peu trop abrupt il me semble.
