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Critique de Ophelien
Nous suivons le destin d'Annabel, entre les années 1799 et 1812, à Charlesbourg d'abord puis à New-York.
Je ne sais pas vraiment quoi dire de ce roman parce qu'il m'a inspiré des avis totalement contradictoires.
Dès le début j'ai pris en grippe Annabel. Je ne dirais pas pourquoi, je ne veux pas dévoiler l'intrigue, mais ça a un rapport avec son frère ainsi qu'à la façon dont elle aborde un événement assez grave. Je ne comprenais absolument pas sa logique. J'ai néanmoins poursuivi ma lecture parce que le cadre historique était intéressant et que la narration donnait envie de connaître la suite.
Nous suivons son évolution sur plusieurs années, ses espoirs, son désir de liberté. Sur ce point j'ai trouvé le roman intéressant, nous permettant de découvrir ce qu'était être une femme à cette époque. Ce qu'elles pouvaient se permettre ou non et à quels dangers cela pouvaient les mener. La saga familiale et les ragots mondains m'ont rendue curieuse et c'est ça qui m'a fait poursuivre ma lecture. Car malheureusement Annabel m'est restée antipathique du début jusqu'à la fin. Elle s'entête à proclamer sa liberté mais se réfugie toujours auprès d'hommes insistants, qui finissent toujours par obtenir ce qu'ils veulent.
C'est dommage parce que tout est bien écrit, le contexte, l'ambiance, et les autres personnages sont assez riches. Mais Annabel est trop lisse, illogique dans ses décisions. Je ne peux pas dire que j'ai aimé, je ne peux pas dire que j'ai détesté. À vous de vous faire un avis sur elle !
Je ne sais pas vraiment quoi dire de ce roman parce qu'il m'a inspiré des avis totalement contradictoires.
Dès le début j'ai pris en grippe Annabel. Je ne dirais pas pourquoi, je ne veux pas dévoiler l'intrigue, mais ça a un rapport avec son frère ainsi qu'à la façon dont elle aborde un événement assez grave. Je ne comprenais absolument pas sa logique. J'ai néanmoins poursuivi ma lecture parce que le cadre historique était intéressant et que la narration donnait envie de connaître la suite.
Nous suivons son évolution sur plusieurs années, ses espoirs, son désir de liberté. Sur ce point j'ai trouvé le roman intéressant, nous permettant de découvrir ce qu'était être une femme à cette époque. Ce qu'elles pouvaient se permettre ou non et à quels dangers cela pouvaient les mener. La saga familiale et les ragots mondains m'ont rendue curieuse et c'est ça qui m'a fait poursuivre ma lecture. Car malheureusement Annabel m'est restée antipathique du début jusqu'à la fin. Elle s'entête à proclamer sa liberté mais se réfugie toujours auprès d'hommes insistants, qui finissent toujours par obtenir ce qu'ils veulent.
C'est dommage parce que tout est bien écrit, le contexte, l'ambiance, et les autres personnages sont assez riches. Mais Annabel est trop lisse, illogique dans ses décisions. Je ne peux pas dire que j'ai aimé, je ne peux pas dire que j'ai détesté. À vous de vous faire un avis sur elle !
