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Critique de Axeria
Ce que je trouve exceptionnel dans les Trois Mousquetaires, c'est la puissance de son protagoniste féminin.
Milady est un bijoux d'écriture, de puissance et de complexité. Elle met (presque) dans l'ombre D'Artagnan, Porthos, Aramis et Athos ! Même si les aventures de ces quatre mousquetaires sont plaisantes à suivre, je n'ai pu m'empêcher de ressentir une réelle aversion envers le personnage principal D'Artagnan, qui est bien loin de la vision idéalisée que j'avais de lui !
Heureusement, il existe François Civil pour s'attacher à ce mousquetaire en apprentissage. Car celui du livre est détestable et n'hésite pas à manipuler les sentiments des autres pour arriver à ses fins.
Les femmes ont une place étonnamment importante dans ce roman, alors qu'il apparaît évident qu'il s'agit, au premier coup d'oeil, d'un récit d'hommes. Mais que cela soit Milady ou Constance Bonacieux, nous avons affaire à deux caractères bien trempées : l'une, courageuse et fidèle messagère de la reine de France, et l'autre, fine manipulatrice afin de survivre dans un monde de violences masculines. Suivre leurs pas est fascinant !
Le récit devient alors celui de l'antagoniste dans sa seconde partie, laissant de côté la bande des mousquetaires, pour mon plus grand étonnement mais aussi pour mon plus grand bonheur. Je n'aurais jamais imaginé que le récit prendrait ce tournant et cela m'a beaucoup plu.
Milady est un bijoux d'écriture, de puissance et de complexité. Elle met (presque) dans l'ombre D'Artagnan, Porthos, Aramis et Athos ! Même si les aventures de ces quatre mousquetaires sont plaisantes à suivre, je n'ai pu m'empêcher de ressentir une réelle aversion envers le personnage principal D'Artagnan, qui est bien loin de la vision idéalisée que j'avais de lui !
Heureusement, il existe François Civil pour s'attacher à ce mousquetaire en apprentissage. Car celui du livre est détestable et n'hésite pas à manipuler les sentiments des autres pour arriver à ses fins.
Les femmes ont une place étonnamment importante dans ce roman, alors qu'il apparaît évident qu'il s'agit, au premier coup d'oeil, d'un récit d'hommes. Mais que cela soit Milady ou Constance Bonacieux, nous avons affaire à deux caractères bien trempées : l'une, courageuse et fidèle messagère de la reine de France, et l'autre, fine manipulatrice afin de survivre dans un monde de violences masculines. Suivre leurs pas est fascinant !
Le récit devient alors celui de l'antagoniste dans sa seconde partie, laissant de côté la bande des mousquetaires, pour mon plus grand étonnement mais aussi pour mon plus grand bonheur. Je n'aurais jamais imaginé que le récit prendrait ce tournant et cela m'a beaucoup plu.
