>
Critique de BurjBabil
Nous nous situons dans un genre bizarre, mélange d'uchronie ésotérique et de réalité. le monde décrit est difficile à situer dans le temps mais divers aspects laissent à penser que c'est l'occident du début du vingtième siècle.
Le scénario : cet univers est « dirigé » par une confrérie de 36 sages. Ils sont juifs. A partir de là, même si bien sûr, vu la date d'écriture du scénario, cette confrérie a des buts qui semblent louables (on verra avec la suite mais la bonhomie de ces rabbins possédant les clés de la confrérie des élus le laissent présager) il y a quand même un arrière-goût bizarre. Je sais, c'est une bande dessinée, pas un livre d'histoire ou de mythologie.
Au niveau du scénario lui-même, c'est bien mené, bien rythmé. Les dialogues sonnent justes, on insiste sur la grande sensibilité des héros versus la presque bestialité de « tous les autres ». Ce manichéisme-là est gênant aussi.
Le vrai problème vient des dessins qui sont assez maladroits, grossiers par moments.
A suivre...
Le scénario : cet univers est « dirigé » par une confrérie de 36 sages. Ils sont juifs. A partir de là, même si bien sûr, vu la date d'écriture du scénario, cette confrérie a des buts qui semblent louables (on verra avec la suite mais la bonhomie de ces rabbins possédant les clés de la confrérie des élus le laissent présager) il y a quand même un arrière-goût bizarre. Je sais, c'est une bande dessinée, pas un livre d'histoire ou de mythologie.
Au niveau du scénario lui-même, c'est bien mené, bien rythmé. Les dialogues sonnent justes, on insiste sur la grande sensibilité des héros versus la presque bestialité de « tous les autres ». Ce manichéisme-là est gênant aussi.
Le vrai problème vient des dessins qui sont assez maladroits, grossiers par moments.
A suivre...
