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Critique de LoupAlunettes
Dur de ne pas être écouté dans sa famille!
Un jour, Arthur a fait un rêve merveilleux, il a rêvé d'un bateau.
Mais papa, maman, le grand frère, (la petite soeur, on peut la mettre aussi dans le lot, ou pas?), aucun n'est disponible pour en prendre connaissance.
On aura connu ça, les petits frères ou les petites soeurs casse-pieds qui voudront monopoliser l'attention ou l'inverse, de grandes personnes qui n'auront jamais le temps pour vos confidences de petits.
L'auteure Polly Dunbar usera de la double narration pour nous raconter à la fois la déconvenue et le rêve. Tandis que nous assisterons à la perte de patience du petit Arthur qui montera en puissance de se trouver "invisible", nous identifierons aussi tout en même temps l'objet de son excitation passée, posé sur sa tête: le bateau.
Le fait surréaliste, ce pouvoir de l'imaginaire sera amusant et nous passerons ainsi à côté de la petite colère d'Arthur.
Comme pour un conte randonné, l'auteure ajoutera dans le texte et l'image, à chaque membre de la famille croisé, un élément nouveau à la description du petit bateau de rêve qu'Arthur.
Ainsi le bateau va prendre forme et des couleurs sur sa tête.
Oui, sur sa tête mais pas que, car Arthur est un grand rêveur.
"Ne le voyez-vous donc pas ?", avons-nous envie de nous écrier à la famille qui s'accorde légitimement, avec un ado occupé avec sa musique en casque, la maman qui fera des vocalises, le papa qui lira son journal et la petite dernière qui rira à gorge déployée (il faudra bien respecter aussi les temps personnels de chacun, n'est-ce pas? Pas simple de se faire entendre, mais normal pour un petit garçon qui grandira, trouvera sa place et qui ne sera pas roi en sa maison).
Nous, nous le verrons ce bateau et cela nous fera sourire.
Nous jouera rapidement à noter chaque détail qui viendra s'ajouter pour vérifier ce que dit Arthur.
Ouf! Point de drame.
La famille, heureusement, se laissera embarquer de bon coeur dans ce grand bateau imaginaire au final et dans cette belle confidence (il faudra un peu hausser le ton. Pauvre Arthur!)
L'aventure est assez adorable.
Un jour, Arthur a fait un rêve merveilleux, il a rêvé d'un bateau.
Mais papa, maman, le grand frère, (la petite soeur, on peut la mettre aussi dans le lot, ou pas?), aucun n'est disponible pour en prendre connaissance.
On aura connu ça, les petits frères ou les petites soeurs casse-pieds qui voudront monopoliser l'attention ou l'inverse, de grandes personnes qui n'auront jamais le temps pour vos confidences de petits.
L'auteure Polly Dunbar usera de la double narration pour nous raconter à la fois la déconvenue et le rêve. Tandis que nous assisterons à la perte de patience du petit Arthur qui montera en puissance de se trouver "invisible", nous identifierons aussi tout en même temps l'objet de son excitation passée, posé sur sa tête: le bateau.
Le fait surréaliste, ce pouvoir de l'imaginaire sera amusant et nous passerons ainsi à côté de la petite colère d'Arthur.
Comme pour un conte randonné, l'auteure ajoutera dans le texte et l'image, à chaque membre de la famille croisé, un élément nouveau à la description du petit bateau de rêve qu'Arthur.
Ainsi le bateau va prendre forme et des couleurs sur sa tête.
Oui, sur sa tête mais pas que, car Arthur est un grand rêveur.
"Ne le voyez-vous donc pas ?", avons-nous envie de nous écrier à la famille qui s'accorde légitimement, avec un ado occupé avec sa musique en casque, la maman qui fera des vocalises, le papa qui lira son journal et la petite dernière qui rira à gorge déployée (il faudra bien respecter aussi les temps personnels de chacun, n'est-ce pas? Pas simple de se faire entendre, mais normal pour un petit garçon qui grandira, trouvera sa place et qui ne sera pas roi en sa maison).
Nous, nous le verrons ce bateau et cela nous fera sourire.
Nous jouera rapidement à noter chaque détail qui viendra s'ajouter pour vérifier ce que dit Arthur.
Ouf! Point de drame.
La famille, heureusement, se laissera embarquer de bon coeur dans ce grand bateau imaginaire au final et dans cette belle confidence (il faudra un peu hausser le ton. Pauvre Arthur!)
L'aventure est assez adorable.
