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Critique de Tiephaine
Un recueil de nouvelles plutôt intéressant et agréable à lire, s'inscrivant dans la période de l'Hérésie d'Horus de l'univers Warhammer 40 000.
La richesse de cet univers permet de publier de nombreuses histoires divertissantes, oscillant entre la fantasy et la science-fiction, le roman d'espionnage et le drame shakespearien, mais toujours sur fond de guerre éternelle et galactique.
Les nouvelles qui composent ce recueil sont très sympathiques (au moins pour ceux qui ont lu les 15 tomes précédents) et diverses, offrant le point de vue tantôt de loyalistes purs et durs, tantôt de membres des légions traitresses restés loyalistes. Une seule nouvelle ne présente pas de méta-humains (space marines et autres), et apporte un véritable souffle de fraicheur au recueil (et à la série, comme a pu le faire Légion ou, dans un autre genre, Mechanicum). Les fans de la série en auront pour leur compte, et quelques primarques pointent le bout de leur nez martial (Roboute Guilliman, Rogal Dorn, Lion El'Jonson, Konrad Curze). On retrouve également quelques personnages apparus précédemment, comme Iacton Qruze (aux côtés de Rogal Dorn et de Solomon Voss), Horus Aximand, ou encore Khârn.
Une seule nouvelle (Les Règles du Combat, malheureusement la première de ce volume) m'a plutôt déçu en raison de sa conclusion très "WTF?" (je déteste être pris pour un imbécile par un auteur, et là c'était clairement le cas).
Deux nouvelles sortent du lot à mes yeux: Dernier Commémorateur, teinté d'une vraie mélancolie et où le conflit est psychologique et émotionnel plutôt que guerrier, et le Fruit du Mensonge, qui met aux prises de simples cultivateurs humains face à l'horreur cosmique que représentent les événements de l'Hérésie d'Horus.
Les autres nouvelles sont également très agréables et divertissantes (Renaissance réserve une belle surprise au lecteur, L'Autre Horus introduit probablement des événements futurs en faisant écho à la trilogie d'origine...).
Une belle réussite de la Black Library, qui n'essoufle pas l'intérêt pour cette série malgré que ce volume-ci soit déjà son seizième tome.
La richesse de cet univers permet de publier de nombreuses histoires divertissantes, oscillant entre la fantasy et la science-fiction, le roman d'espionnage et le drame shakespearien, mais toujours sur fond de guerre éternelle et galactique.
Les nouvelles qui composent ce recueil sont très sympathiques (au moins pour ceux qui ont lu les 15 tomes précédents) et diverses, offrant le point de vue tantôt de loyalistes purs et durs, tantôt de membres des légions traitresses restés loyalistes. Une seule nouvelle ne présente pas de méta-humains (space marines et autres), et apporte un véritable souffle de fraicheur au recueil (et à la série, comme a pu le faire Légion ou, dans un autre genre, Mechanicum). Les fans de la série en auront pour leur compte, et quelques primarques pointent le bout de leur nez martial (Roboute Guilliman, Rogal Dorn, Lion El'Jonson, Konrad Curze). On retrouve également quelques personnages apparus précédemment, comme Iacton Qruze (aux côtés de Rogal Dorn et de Solomon Voss), Horus Aximand, ou encore Khârn.
Une seule nouvelle (Les Règles du Combat, malheureusement la première de ce volume) m'a plutôt déçu en raison de sa conclusion très "WTF?" (je déteste être pris pour un imbécile par un auteur, et là c'était clairement le cas).
Deux nouvelles sortent du lot à mes yeux: Dernier Commémorateur, teinté d'une vraie mélancolie et où le conflit est psychologique et émotionnel plutôt que guerrier, et le Fruit du Mensonge, qui met aux prises de simples cultivateurs humains face à l'horreur cosmique que représentent les événements de l'Hérésie d'Horus.
Les autres nouvelles sont également très agréables et divertissantes (Renaissance réserve une belle surprise au lecteur, L'Autre Horus introduit probablement des événements futurs en faisant écho à la trilogie d'origine...).
Une belle réussite de la Black Library, qui n'essoufle pas l'intérêt pour cette série malgré que ce volume-ci soit déjà son seizième tome.
