AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
>

Critique de anniefrance


Journaliste martiniquais, il est envoyé en Guyane, à Cayenne. L'Homme, c'est son grand-père. Une photographie sepia va nous le faire connaître, elle représente l'Homme, la joie du Pruneau (?) et en arrière-plan, la misère de l'usine. "un moment de calme après la récolte "(de sucre). Autour de la table familiale des souvenirs s'échangent, sorcelleries, évangiles des nègres. On parle de l'Homme, surnom donné par un chef d'atelier; la locomotive qu'il conduit va de l'usine à la mer avec ses wagons chargés de sucre. Un jour, il écrase un vaurien sans ralentir la machine. L'Homme me paraît brutal, alcoolique, lubrique et j'avoue ne pas avoir trop apprécié; pas non plus tellement la langue qui ne m'a pas semblé si poétique que çà.
Qui est le Pruneau; pourquoi le mot Evangile? J'avoue ne pas avoir bien compris; qui est béké, qui est noir.
Merci quand même à la masse critique et aux éditions La Trace de m'avoir permis cette découverte.
Commenter  J’apprécie          33



Ont apprécié cette critique (3)voir plus




{* *}