>
Critique de Yogiquilit
Dans cette petite autobiographie Laurent Dutheil nous parle de lui mais aussi par là même de tous les juifs ayant survécu à l'holocauste et qui n'en parlaient pas même en famille, qui continuaient d'avoir peur et donc se cachaient en changeant de nom par exemple.
C'est ce qu'il apprend à 7 ans, et à 13 ans il divulgue ce secret à l'occasion d'un jeu en classe.
A partir de ce moment, c'est pour lui une quête d'identité qui durera une grande partie de sa vie, savoir si il est et se considère juif, et ce que cela veut dire.
A travers les silences de ses parents, il nous parle du leg qu'une famille nous fait concernant notre histoire, ce que l'on peut transmettre par choix ou non à nos descendants.
En émaillant son histoire de faits de la grande histoire, on apprend qu'à l'issue de la guerre on a peu parlé des camps et de ce qui s'y est passé, d'où en partie le silence dans sa famille.
On a là l'occasion de voir d'un autre point de vue ce côté de l'histoire et d'apprendre des choses et j'ai bien aimé ça.
C'est ce qu'il apprend à 7 ans, et à 13 ans il divulgue ce secret à l'occasion d'un jeu en classe.
A partir de ce moment, c'est pour lui une quête d'identité qui durera une grande partie de sa vie, savoir si il est et se considère juif, et ce que cela veut dire.
A travers les silences de ses parents, il nous parle du leg qu'une famille nous fait concernant notre histoire, ce que l'on peut transmettre par choix ou non à nos descendants.
En émaillant son histoire de faits de la grande histoire, on apprend qu'à l'issue de la guerre on a peu parlé des camps et de ce qui s'y est passé, d'où en partie le silence dans sa famille.
On a là l'occasion de voir d'un autre point de vue ce côté de l'histoire et d'apprendre des choses et j'ai bien aimé ça.
