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Critique de LesLivresDeCedrick
L'auteur nous propose de prendre du recul sur plusieurs sujets de société. "Fils" publié aux éditions L'ire de l'ours, est le premier roman de Dimitri Eble Scano. Il nous propose de réfléchir sur nos filiations, nos histoires familiales, sur nos vies et toutes les possibilités qui s'offrent à elles.
L'auteur nous incite à tirer sur les fils de notre histoire en la projetant sur Yva, de parents italiens immigrés en France, et Cédric, son fils. C'est un livre témoignage, tant sur les vicissitudes liées à l'immigration et à l'intégration que sur la filiation et l'amour ainsi que, dans les deux cas, sur le regard de l'autre. Ce dernier peut être une motivation mais plus souvent un poids dont il est préférable de se libérer pour vivre pleinement sa propre vie.
Dimitri Eble Scano nous apporte des visions différentes selon le fil sur lequel nous tirons. L'un d'entre eux nous amène à parler de l'amour d'une grand-mère pour son petit-fils ou un autre fil sur l'amour d'un fils pour sa mère. On y aborde les moments clefs de la vie avec l'âpreté qu'on peut leur reconnaître. L'auteur lève aussi le voile sur le polyamour de Cédric trouvant son équilibre entre sa femme Amandine et son amant Lucas.
Le rythme appelle à l'introspection. Il est parfois possible de s'emmêler les fils. Il faut alors poser son regard sur Yva ou sur Cédric et démêler le tout, sans faire de noeud. le rythme reprend alors, et l'intérêt avec lui. On comprend progressivement la fragilité de nos vies et la force de nos choix.
L'auteur nous incite à tirer sur les fils de notre histoire en la projetant sur Yva, de parents italiens immigrés en France, et Cédric, son fils. C'est un livre témoignage, tant sur les vicissitudes liées à l'immigration et à l'intégration que sur la filiation et l'amour ainsi que, dans les deux cas, sur le regard de l'autre. Ce dernier peut être une motivation mais plus souvent un poids dont il est préférable de se libérer pour vivre pleinement sa propre vie.
Dimitri Eble Scano nous apporte des visions différentes selon le fil sur lequel nous tirons. L'un d'entre eux nous amène à parler de l'amour d'une grand-mère pour son petit-fils ou un autre fil sur l'amour d'un fils pour sa mère. On y aborde les moments clefs de la vie avec l'âpreté qu'on peut leur reconnaître. L'auteur lève aussi le voile sur le polyamour de Cédric trouvant son équilibre entre sa femme Amandine et son amant Lucas.
Le rythme appelle à l'introspection. Il est parfois possible de s'emmêler les fils. Il faut alors poser son regard sur Yva ou sur Cédric et démêler le tout, sans faire de noeud. le rythme reprend alors, et l'intérêt avec lui. On comprend progressivement la fragilité de nos vies et la force de nos choix.
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