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Critique de Imkal
Dans la même veine et de la même qualité que les tomes précédents.
J'attendais ce tome avec impatience pour savourer comment l'auteur allait cloturer cette aventure Hi-Tech et je dois dire que mon jugement est en demi-teinte malgré mes 4 étoiles.
Tout d'abord, j'ai plongé dans ce livre comme on plonge dans la cohérence pour n'en ressortir qu'à la fin. Certes il y a eu des interruptions de lecture mais le processus tournait en arrière plan, toujours présent.
L'histoire est palpitante et reste à mes yeux très vraisemblable. Je n'y ai pas lu d'incohérence ni de faux pas. Tout se tient.
Nos héros après quelques tergiversations s'envolent de leur propres ailes vers un final speedé mais un rien désinvolte. L'auteur laisse tomber les chemins de traverses et se concentre sur son sprint final vers le dénouement de l'aventure.
Pas d'actions rocambolesques ni d'héroïsme jamesbondien mais une tension croissante agravée par un fatalisme ambient. Un peu comme ce moment ou un animal traverse de nuit et ses yeux qui s'illuminent dans nos phares, va-t-il continuer ou est-il figé de peur? Cette forme d'hésitation entre confiance et fatalité. Mais l'auteur nous adjoint un personnage désinvolte et nonchaland dont la présence va apporter un air de fraicheur et d'optimisme face au cataclysme qui s'approche.
Ma demi-teinte tient dans une fin trop rapide; trop abrupte qui me laisse un gout d'inachevé dans la bouche. Pourtant, je me dis que tout y est, qu'il ne pouvait en être autrement. Cela vient peut-être que nous découvrons nos héros sous un autre angle et que aurions aimé en savoir plus ou que nous aurions aussi aimé achever l'exploration des chemins abandonnés ou simplement que la vraisemblance de cette histoire réveille en nous des peurs auxquels le livre n'apporte aucune réponse...
J'attendais ce tome avec impatience pour savourer comment l'auteur allait cloturer cette aventure Hi-Tech et je dois dire que mon jugement est en demi-teinte malgré mes 4 étoiles.
Tout d'abord, j'ai plongé dans ce livre comme on plonge dans la cohérence pour n'en ressortir qu'à la fin. Certes il y a eu des interruptions de lecture mais le processus tournait en arrière plan, toujours présent.
L'histoire est palpitante et reste à mes yeux très vraisemblable. Je n'y ai pas lu d'incohérence ni de faux pas. Tout se tient.
Nos héros après quelques tergiversations s'envolent de leur propres ailes vers un final speedé mais un rien désinvolte. L'auteur laisse tomber les chemins de traverses et se concentre sur son sprint final vers le dénouement de l'aventure.
Pas d'actions rocambolesques ni d'héroïsme jamesbondien mais une tension croissante agravée par un fatalisme ambient. Un peu comme ce moment ou un animal traverse de nuit et ses yeux qui s'illuminent dans nos phares, va-t-il continuer ou est-il figé de peur? Cette forme d'hésitation entre confiance et fatalité. Mais l'auteur nous adjoint un personnage désinvolte et nonchaland dont la présence va apporter un air de fraicheur et d'optimisme face au cataclysme qui s'approche.
Ma demi-teinte tient dans une fin trop rapide; trop abrupte qui me laisse un gout d'inachevé dans la bouche. Pourtant, je me dis que tout y est, qu'il ne pouvait en être autrement. Cela vient peut-être que nous découvrons nos héros sous un autre angle et que aurions aimé en savoir plus ou que nous aurions aussi aimé achever l'exploration des chemins abandonnés ou simplement que la vraisemblance de cette histoire réveille en nous des peurs auxquels le livre n'apporte aucune réponse...
