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Critique de babel95
Ali est un petit garçon qui ne veut pas se lever pour aller à l'école....
Son grand-père lui arrose la tête pour le forcer à quitter sa couverture.
Et c'est ainsi que débute une journée pas comme les autres en Afrique.
Car Ali habite le désert. Son grand-père, qu'il nomme, par respect, l'Ancien, a commis, à ses yeux, un sacrilège. Il a gaspillé l'eau, l'eau précieuse que l'on garde dans des outres, sous la tente.
Et l'Ancien lui a demandé de se hâter vers l'école, alors qu'aujourd'hui, c'est vendredi et que l'école est fermée.
Ali va faire plusieurs rencontres ce jour-là. Sa route croise celle d'un serpent, et Ali va faire couler le venin du serpent dans le sol : il comprend que l'eau peut être un poison.
Puis Ali se rend dans l'enclos des chameaux, il caresse un des plus vieux chameaux... le chameau bave, et Ali comprend que l'eau peut être la salive de ceux qui parlent pour ne rien dire.
Enfin, Ali retrouve son petit frère, un mouvement brusque et petit frère est en larmes.... Ali comprend que l'eau, ce sont aussi les larmes.
De retour auprès de l'Ancien, Ali raconte sa journée. Pour lui, c'est une journée perdue, comme l'eau gaspillée dès le matin. Mais l'Ancien n'est pas d'accord. Ali a compris que l'eau pouvait être poison, salive ou larmes. Il a réfléchi... Cette réflexion accomplie valait bien quelques gouttes d'eau, si précieuse soit-elle.... Réconciliés, Ali et son grand-père terminent la journée en jouant aux dames.
Quel plaisir de retrouver ce conte de la série Les belles histoires, des éditions Bayard. le petit Ali et son Ancien, l'Afrique, les paysages et les animaux du désert prennent vie grâce au texte de René Escudié mis en valeur par les illustrations de Claude et Denise Millet. Un conte qui nous dépayse et rappelle s'il le fallait l'importance de l'eau.
Un ouvrage à lire aux enfants dès cinq ans.
Son grand-père lui arrose la tête pour le forcer à quitter sa couverture.
Et c'est ainsi que débute une journée pas comme les autres en Afrique.
Car Ali habite le désert. Son grand-père, qu'il nomme, par respect, l'Ancien, a commis, à ses yeux, un sacrilège. Il a gaspillé l'eau, l'eau précieuse que l'on garde dans des outres, sous la tente.
Et l'Ancien lui a demandé de se hâter vers l'école, alors qu'aujourd'hui, c'est vendredi et que l'école est fermée.
Ali va faire plusieurs rencontres ce jour-là. Sa route croise celle d'un serpent, et Ali va faire couler le venin du serpent dans le sol : il comprend que l'eau peut être un poison.
Puis Ali se rend dans l'enclos des chameaux, il caresse un des plus vieux chameaux... le chameau bave, et Ali comprend que l'eau peut être la salive de ceux qui parlent pour ne rien dire.
Enfin, Ali retrouve son petit frère, un mouvement brusque et petit frère est en larmes.... Ali comprend que l'eau, ce sont aussi les larmes.
De retour auprès de l'Ancien, Ali raconte sa journée. Pour lui, c'est une journée perdue, comme l'eau gaspillée dès le matin. Mais l'Ancien n'est pas d'accord. Ali a compris que l'eau pouvait être poison, salive ou larmes. Il a réfléchi... Cette réflexion accomplie valait bien quelques gouttes d'eau, si précieuse soit-elle.... Réconciliés, Ali et son grand-père terminent la journée en jouant aux dames.
Quel plaisir de retrouver ce conte de la série Les belles histoires, des éditions Bayard. le petit Ali et son Ancien, l'Afrique, les paysages et les animaux du désert prennent vie grâce au texte de René Escudié mis en valeur par les illustrations de Claude et Denise Millet. Un conte qui nous dépayse et rappelle s'il le fallait l'importance de l'eau.
Un ouvrage à lire aux enfants dès cinq ans.
