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Critique de zabeth55


Initié dès l'enfance à l'art par son père, à l'opéra par sa grand-mère, Nicolas, après un chagrin d'amour, devient écrivain comme sa mère. Un écrivain à grand succès.
Quel étrange roman ! M'a-t-il plu ou pas ? Une chose est sûre, il m'a dérangée.
Dès le prologue j'ai été conquise, enchantée par le style et par le ton, par l'intelligence de l'écriture.
Et, parallèle à l'histoire de Nicolas, celle des Rogis, bourreaux de père en fils depuis des générations m'a beaucoup intéressée et intriguée à la fois.
Mais au fil des pages, le malaise de Nicolas a commencé à m'envahir, son goût du sang et de la mort, ses déviances sexuelles. A un moment, j'étais proche de la nausée, je n'arrivais plus à le comprendre. Et puis sa fascination pour le cannibale Morimoto, m'a lassée, c'est devenu long et pesant à lire, jusqu'à ce que je comprenne le lien entre Nicolas, les Rogis et Morimoto.
L'intrigue est particulièrement tordue et fascinante à la fois, d'où l'ambiguïté de mon sentiment.
Quoiqu'il en soit ; j'aime le style et l'écriture de Nicolas d'Estienne d'Orves, que je ne connaissais pas, et que je vais continuer à découvrir.
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