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Critique de Yokay
J'avertis : je ne suis ni une fan inconditionnelle ni une spécialiste des albums d'Astérix, je ne les ai pas tous lus, mais certains albums du duo d'origine m'ont fait rire. Ce qui n'a pas été le cas du numéro précédent, le 39, qui m'avait déçue. Cette fois-ci, c'est la présence de l'humour de Fabcaro, que j'adore, qui m'a attirée et mise en confiance.
Je ne vais pas re raconter l'intrigue, impossible de passer au travers du battage médiatique, et 75 critiques ont déjà été publiées à ce jour.
Je vais juste dire « Oui, oui, oui !!! ». J'ai retrouvé le plaisir des jeux de mots, j'ai ri aux larmes dans la scène au restaurant (pauvre Obélix !), j'ai trouvé les références actuelles bien envoyées, et j'ai apprécié les références aux anciens albums qui inscrivent bien celui-ci dans la longue histoire de nos héros et invitent à la re parcourir. Peu d'action et de bagarres, certes, mais cela ne m'a pas gênée. le seul regret : un petit gout de trop peu, le séjour lutécien aurait pu durer davantage, il y a largement matière à se moquer des travers de la vie trépidante dans la capitale. Mais le cahier des charges est impitoyable, 48 pages, pas une de plus.
Je ne vais pas re raconter l'intrigue, impossible de passer au travers du battage médiatique, et 75 critiques ont déjà été publiées à ce jour.
Je vais juste dire « Oui, oui, oui !!! ». J'ai retrouvé le plaisir des jeux de mots, j'ai ri aux larmes dans la scène au restaurant (pauvre Obélix !), j'ai trouvé les références actuelles bien envoyées, et j'ai apprécié les références aux anciens albums qui inscrivent bien celui-ci dans la longue histoire de nos héros et invitent à la re parcourir. Peu d'action et de bagarres, certes, mais cela ne m'a pas gênée. le seul regret : un petit gout de trop peu, le séjour lutécien aurait pu durer davantage, il y a largement matière à se moquer des travers de la vie trépidante dans la capitale. Mais le cahier des charges est impitoyable, 48 pages, pas une de plus.
