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Critique de sassenach
La vie est souvent absurde et injuste. Il n'est pas facile d'éviter les moqueries quand on est de petite taille et chauve, les voleurs de sac à mains se font eux-mêmes voler mais la justice est parfois étrange, certains peintres ont une vision de l'art qui leur est propre, les lanceurs de couteaux dans les cirques ne visent peut-être pas forcément comme on s'y attend …
Ne me demandez pas ce que signifie le titre, je n'en ai aucune idée. de même, l'album est divisé en chapitres avec pour titre les prénoms (pour le moins étranges) de personnages mais on ne les retrouve pas forcément dans le reste de l'album … peut-être qu'il y a quelque chose que je n'ai pas compris au sujet de ce découpage (un jeu de mot par exemple) ! Les sketches sont limités à une seule page chacun, sans texte, et avec un dessin noir et blanc typique de Fabcaro. En quelques vignettes, l'auteur prend systématiquement le contre-pied des situations habituelles et celles-ci se terminent toujours de façon cynique et absurde. Certaines m'ont d'ailleurs fait rire car j'aime bien l'humour noir qu'on retrouve dans ces pages. Par contre, je peux aussi comprendre que certains lecteurs puissent être choqués par certaines situations car l'auteur n'y va pas avec le dos de la cuillère et pousse le bouchon toujours plus loin. Tous les ans, j'ai l'occasion de rencontrer Fabcaro à la Comédie du livre de Montpellier et cette année, c'est cet album, ainsi que le précédent chroniqué sur le blog, que j'ai achetés et fait dédicacer … je commence à avoir pratiquement toutes ses oeuvres … du moins, celles qu'il a signé seul (car il se commet aussi avec d'autres auteurs dans des séries comme « Z comme Don Diego ») et je trouve qu'elles sont parfaites à lire pour les vacances !
Ne me demandez pas ce que signifie le titre, je n'en ai aucune idée. de même, l'album est divisé en chapitres avec pour titre les prénoms (pour le moins étranges) de personnages mais on ne les retrouve pas forcément dans le reste de l'album … peut-être qu'il y a quelque chose que je n'ai pas compris au sujet de ce découpage (un jeu de mot par exemple) ! Les sketches sont limités à une seule page chacun, sans texte, et avec un dessin noir et blanc typique de Fabcaro. En quelques vignettes, l'auteur prend systématiquement le contre-pied des situations habituelles et celles-ci se terminent toujours de façon cynique et absurde. Certaines m'ont d'ailleurs fait rire car j'aime bien l'humour noir qu'on retrouve dans ces pages. Par contre, je peux aussi comprendre que certains lecteurs puissent être choqués par certaines situations car l'auteur n'y va pas avec le dos de la cuillère et pousse le bouchon toujours plus loin. Tous les ans, j'ai l'occasion de rencontrer Fabcaro à la Comédie du livre de Montpellier et cette année, c'est cet album, ainsi que le précédent chroniqué sur le blog, que j'ai achetés et fait dédicacer … je commence à avoir pratiquement toutes ses oeuvres … du moins, celles qu'il a signé seul (car il se commet aussi avec d'autres auteurs dans des séries comme « Z comme Don Diego ») et je trouve qu'elles sont parfaites à lire pour les vacances !
