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Critique de Lively93
Qui a dit que les romances de Noël ne se lisaient qu'à Noël ? On est au mois de Février, le célèbre «All I want for Christmaaaaaaas, is youuuuuuu ! » a une toute autre saveur, mais il n'y a jamais de mauvais moment pour une rom-com pétillante.
Par peur de décevoir sa famille, Jill Mora a acquis la fâcheuse habitude de lui mentir régulièrement ; c'est comme ça que celle-ci croit que Jill a un haut poste à responsabilités, alors qu'elle n'est qu'une simple assistante qui attend une promotion qui tarde à venir. A quelques jours de Noël, c'est dans le train en direction de sa ville natale qu'elle rencontre Matthew, un écrivain sexy en plein syndrome de la page blanche, et faux petit-ami à ses heures perdues. C'est donc en toute confiance qu'elle lui révèle son secret ; après tout, ils sont censés ne plus jamais se revoir.
Snowy Little Lies est la petite lecture légère et drôle qui passe bien, et qui se dévore comme un paquet de Dragibus; pourtant elle ne comporte rien de nouveau : un scénario habituel et assez facile avec le faux petit ami, la proximité forcée, l'attirance mutuelle, la famille excentrique ; les codes de la chick-lit : la jeune trentenaire avec une famille envahissante qui aspire à une belle carrière professionnelle, le beau mec ténébreux un peu artiste et avec un passé hyper trouble, l'ex petit-ami-recasé-briseur-de-coeur, la meilleure amie fêtarde et confidente, et parfois, la voix de la raison. le tout enrobé de clichés de Noël : un concours de décorations de Noël, une patinoire, une librairie-café trop mignonne, et Love Actually en fond sonore.
Le rythme est assez lent, mais les pages se tournent vite et on prend plaisir à suivre ces personnages hauts en couleurs, universels et contemporains, coincés dans leurs petites menteries. le dénouement est un bouquet final à un florilège de tableaux et dialogues assez drôles. Une lecture très oubliable mais agréable, avec un petit clin d'oeil à Bridget Jones (le film) sur la fin qui m'a fait sourire.
Par peur de décevoir sa famille, Jill Mora a acquis la fâcheuse habitude de lui mentir régulièrement ; c'est comme ça que celle-ci croit que Jill a un haut poste à responsabilités, alors qu'elle n'est qu'une simple assistante qui attend une promotion qui tarde à venir. A quelques jours de Noël, c'est dans le train en direction de sa ville natale qu'elle rencontre Matthew, un écrivain sexy en plein syndrome de la page blanche, et faux petit-ami à ses heures perdues. C'est donc en toute confiance qu'elle lui révèle son secret ; après tout, ils sont censés ne plus jamais se revoir.
Snowy Little Lies est la petite lecture légère et drôle qui passe bien, et qui se dévore comme un paquet de Dragibus; pourtant elle ne comporte rien de nouveau : un scénario habituel et assez facile avec le faux petit ami, la proximité forcée, l'attirance mutuelle, la famille excentrique ; les codes de la chick-lit : la jeune trentenaire avec une famille envahissante qui aspire à une belle carrière professionnelle, le beau mec ténébreux un peu artiste et avec un passé hyper trouble, l'ex petit-ami-recasé-briseur-de-coeur, la meilleure amie fêtarde et confidente, et parfois, la voix de la raison. le tout enrobé de clichés de Noël : un concours de décorations de Noël, une patinoire, une librairie-café trop mignonne, et Love Actually en fond sonore.
Le rythme est assez lent, mais les pages se tournent vite et on prend plaisir à suivre ces personnages hauts en couleurs, universels et contemporains, coincés dans leurs petites menteries. le dénouement est un bouquet final à un florilège de tableaux et dialogues assez drôles. Une lecture très oubliable mais agréable, avec un petit clin d'oeil à Bridget Jones (le film) sur la fin qui m'a fait sourire.
