Il était une fois l'Algérie se présente comme un « conte roman fantastique ». Tellement fantastique que dès le début de ma lecture, j'ai été perdue : c'est assez étrange à dire, mais je n'ai pas compris tout ce que j'ai lu. La quatrième de couverture évoquait l'enlèvement d'une jeune fille mais je n'ai retrouvé cet élément dans le texte. Finalement, j'ai abandonné la lecture en cours de route, après plusieurs essais, totalement dépassée par l'écriture de
Nabile Farès et l'histoire qu'il raconte.
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