>
Critique de LoupAlunettes
"Dans mon corps" attaque le sujet de l'anatomie avec poésie, c'est assez original.
Mirjana Farkas raconte l'histoire secrète du corps humain, celle de notre corps et les jeunes lecteurs pourront avoir une évocation de ce qui s'y passe quand leur viennent des sensations.
La petite mécanique est toute belle.
Les mots, les images sont baignés de fantaisie pour traduire l'activité et les états du corps.
"Quand je rigole, je deviens feu d'artifice".
Alors que des enfants font le poirier, des étincelles réjouissent leur petit monde intérieur (le ventre).
"Quand je suis en colère, je deviens sauvage".
Une ménagerie sauvage s'assemble pour créer la silhouette d'une jeune fille en pétard.
Les sommeil, l'alimentation, l'activité sportive, l'activité intellectuelle, ces actions du corps sont revisitées avec un brin d'onirisme tout nouveau, cela s'étale sur deux pages extrêmement vives de couleurs en un corps qui prend ses libertés.
Un enfant, ça bouge.
Les mots et les images s'associent, l'un illustrant l'autre, ou se complètent, offrant du complément de sens, pour cette drôle de réponse intérieure.
Les jeunes enfants qui se prêtent à la démonstration sont représentés en coupe, suffisamment transparents pour que l'on puisse y voir les petits personnages qui travaillent pour nous au dedans ou s'amuser de l'explosion de petits icônes expressifs de sensations.
Quand le corps est malade par exemple, on peut imaginer des petits pompiers luttant contre les fièvres et les inflammations, tandis que des boxers et karatékas repoussent les virus.
L'angle pris rend le domaine très ludique.
Les enfants pourraient être tentés de saisir les crayons de couleurs et d'imaginer leur propre aventure intérieur.
Cela pourrait être drôle.
Pourvu qu'ils ne nous livrent le secret de leurs ballonnements.
Le chroniqueur gourmand que je suis vous renvoie à l'excellent "A quoi penses-tu?" de Laurent Moreau, chez Hélium, pour poursuivre l'aventure intérieure très proche des intentions de Mirjana Farkas.
Mirjana Farkas raconte l'histoire secrète du corps humain, celle de notre corps et les jeunes lecteurs pourront avoir une évocation de ce qui s'y passe quand leur viennent des sensations.
La petite mécanique est toute belle.
Les mots, les images sont baignés de fantaisie pour traduire l'activité et les états du corps.
"Quand je rigole, je deviens feu d'artifice".
Alors que des enfants font le poirier, des étincelles réjouissent leur petit monde intérieur (le ventre).
"Quand je suis en colère, je deviens sauvage".
Une ménagerie sauvage s'assemble pour créer la silhouette d'une jeune fille en pétard.
Les sommeil, l'alimentation, l'activité sportive, l'activité intellectuelle, ces actions du corps sont revisitées avec un brin d'onirisme tout nouveau, cela s'étale sur deux pages extrêmement vives de couleurs en un corps qui prend ses libertés.
Un enfant, ça bouge.
Les mots et les images s'associent, l'un illustrant l'autre, ou se complètent, offrant du complément de sens, pour cette drôle de réponse intérieure.
Les jeunes enfants qui se prêtent à la démonstration sont représentés en coupe, suffisamment transparents pour que l'on puisse y voir les petits personnages qui travaillent pour nous au dedans ou s'amuser de l'explosion de petits icônes expressifs de sensations.
Quand le corps est malade par exemple, on peut imaginer des petits pompiers luttant contre les fièvres et les inflammations, tandis que des boxers et karatékas repoussent les virus.
L'angle pris rend le domaine très ludique.
Les enfants pourraient être tentés de saisir les crayons de couleurs et d'imaginer leur propre aventure intérieur.
Cela pourrait être drôle.
Pourvu qu'ils ne nous livrent le secret de leurs ballonnements.
Le chroniqueur gourmand que je suis vous renvoie à l'excellent "A quoi penses-tu?" de Laurent Moreau, chez Hélium, pour poursuivre l'aventure intérieure très proche des intentions de Mirjana Farkas.
