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Critique de Ewylyn
J'avais pas mal apprécié le premier tome et j'avais très envie de connaître la suite. Chose faite avec cette lecture très divertissante, sympathique et chick-lit qu'est « Je suis Juliette ». le spectacle de Roméo et Juliette est sur le point de se monter et les auditions commencent, Alice et Amber rêvent de jouer dedans et la compétition s'installe dans l'établissement scolaire.
L'arc scénaristique pousse les bases du réseau social, Real Life, dans sa mauvaise utilisation, celle de ridiculiser les autres à travers des photos et des commentaires négatifs. J'ai bien aimé l'idée, même si elle reste en surface. Il faut dire que Real Life prend moins de place, vu que les auditions débutent et que les divers participants sont rongés par leurs problèmes personnels (le cas d'Alice) ou le trac. Ce tome, il se concentre plus sur Thomas, ce profil que nos trois héroïnes ont créé et qui devient réalité.
Personnellement, ce garçon me fait froid dans le dos. Il sait exactement comment se conduire avec les trois filles, ce qui va leur plaire. Il prend des allures de prince charmant, en apparaissant et disparaissant, en les mettant en confiance, en les aidant, c'est très mystérieux, voire flippant. Je comprends l'attraction qu'il déclenche, après tout, ces trois filles veulent un petit ami pas forcément parfait, mais qui les comprend, c'est là qu'il joue un jeu dangereux et étrange. Il pousse les filles à s'assumer, à changer, à grandir, à croire en leurs capacités, même si le chemin est encore long, il n'en demeure pas moins dérangeant, et à en juger par la dernière planche, j'ai hâte d'apprendre le fin mot de cette affaire.
Les dessins sont toujours aussi beaux. le design des personnages sonne réaliste, vêtements et physionomies permettent d'identifier rapidement les protagonistes. J'aime énormément les décors et autres arrières-plan en aquarelle, cela donne un joli effet visuel à la bande dessinée qui oscille entre couleurs pop et pastel. Un curieux mélange qui charme totalement renforçant le côté girly de la série. Les émotidolls sont par ailleurs trop mignonnes, cela aide à s'attacher aux personnages colorés et sympathiques. On voit plus en détail Alice, dont l'histoire est très touchante, sa mère vit son rêve et sa passion à travers Alice et cela se voit, la jeune fille devra abandonner le théâtre pour le volley et elle ne sait pas comment le dire à sa mère. Elle n'est pas comme elle, ou comme son frère. En somme, c'est une intrigue très passionnante que nous offre ce second tome.
L'arc scénaristique pousse les bases du réseau social, Real Life, dans sa mauvaise utilisation, celle de ridiculiser les autres à travers des photos et des commentaires négatifs. J'ai bien aimé l'idée, même si elle reste en surface. Il faut dire que Real Life prend moins de place, vu que les auditions débutent et que les divers participants sont rongés par leurs problèmes personnels (le cas d'Alice) ou le trac. Ce tome, il se concentre plus sur Thomas, ce profil que nos trois héroïnes ont créé et qui devient réalité.
Personnellement, ce garçon me fait froid dans le dos. Il sait exactement comment se conduire avec les trois filles, ce qui va leur plaire. Il prend des allures de prince charmant, en apparaissant et disparaissant, en les mettant en confiance, en les aidant, c'est très mystérieux, voire flippant. Je comprends l'attraction qu'il déclenche, après tout, ces trois filles veulent un petit ami pas forcément parfait, mais qui les comprend, c'est là qu'il joue un jeu dangereux et étrange. Il pousse les filles à s'assumer, à changer, à grandir, à croire en leurs capacités, même si le chemin est encore long, il n'en demeure pas moins dérangeant, et à en juger par la dernière planche, j'ai hâte d'apprendre le fin mot de cette affaire.
Les dessins sont toujours aussi beaux. le design des personnages sonne réaliste, vêtements et physionomies permettent d'identifier rapidement les protagonistes. J'aime énormément les décors et autres arrières-plan en aquarelle, cela donne un joli effet visuel à la bande dessinée qui oscille entre couleurs pop et pastel. Un curieux mélange qui charme totalement renforçant le côté girly de la série. Les émotidolls sont par ailleurs trop mignonnes, cela aide à s'attacher aux personnages colorés et sympathiques. On voit plus en détail Alice, dont l'histoire est très touchante, sa mère vit son rêve et sa passion à travers Alice et cela se voit, la jeune fille devra abandonner le théâtre pour le volley et elle ne sait pas comment le dire à sa mère. Elle n'est pas comme elle, ou comme son frère. En somme, c'est une intrigue très passionnante que nous offre ce second tome.
