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Critique de MozzaBasilic
Pour commencer c'est toujours un plaisir de retrouver nos 3 gaulois préférés !
Dans Astérix et le griffon le dernier tome à ce jour, 39e de la série, nous suivons Astérix, Obélix & Idéfix ainsi que le druide Panoramix qui répondent à l'appel d'un confrère druide, Cékankondine du peuple des Sarmates !
La nièce du druide Sarmate donc, est une otage des romains et les romains comptent se servir d'elle pour capturer une créature mi-aigle, mi-lion : le griffon ! Quel beau spectacle ce serait pour le cirque de César ! Il envoie donc une expédition dans le froid du grand est, au pays des barbares pour mener à bien cette mission.
Mais c'est sans compter sur nos amis gaulois et sur les Amazones, ces femmes guerrières qui vont leur mettre des flèches dans les godillots…
Tome très moderne qui illustre l'égalité homme-femme, les complots et les « fake news ».
En le lisant j'ai parfois trouvé l'histoire (trop) politisé mais les nouveaux auteurs Jean-Yves Ferri (scénariste) et Didier Conrad (dessinateur) joue avec notre temps et on ne peut pas leur reprocher cette modernité, bien au contraire. On passe un agréablement moment devant cette légendaire BD comme d'habitude avec des jeux de mots comme on les aime. L'essentiel est là et c'est tout ce qu'on (re)demande !
Dans Astérix et le griffon le dernier tome à ce jour, 39e de la série, nous suivons Astérix, Obélix & Idéfix ainsi que le druide Panoramix qui répondent à l'appel d'un confrère druide, Cékankondine du peuple des Sarmates !
La nièce du druide Sarmate donc, est une otage des romains et les romains comptent se servir d'elle pour capturer une créature mi-aigle, mi-lion : le griffon ! Quel beau spectacle ce serait pour le cirque de César ! Il envoie donc une expédition dans le froid du grand est, au pays des barbares pour mener à bien cette mission.
Mais c'est sans compter sur nos amis gaulois et sur les Amazones, ces femmes guerrières qui vont leur mettre des flèches dans les godillots…
Tome très moderne qui illustre l'égalité homme-femme, les complots et les « fake news ».
En le lisant j'ai parfois trouvé l'histoire (trop) politisé mais les nouveaux auteurs Jean-Yves Ferri (scénariste) et Didier Conrad (dessinateur) joue avec notre temps et on ne peut pas leur reprocher cette modernité, bien au contraire. On passe un agréablement moment devant cette légendaire BD comme d'habitude avec des jeux de mots comme on les aime. L'essentiel est là et c'est tout ce qu'on (re)demande !
