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Critique de davidomi
Tout ça pour ça : de la romance pour fleurs desséchées !
Voilà encore un ouvrage dont j'attendais beaucoup. Et cela commençait d'ailleurs pas mal : un mystérieux milliardaire, dont on subodore le caractère hors-la-loi de la réussite, organise des fêtes fastueuses dans sa fabuleuse demeure...
Pourquoi cet étrange bonhomme agit-il ainsi ? Et d'où vient cet argent qui coule à flot ?
Côté galerie de personnages, tous sont des êtres creux, ivres de vanité, seulement soucieux du regard social, de l'argent. Heureusement qu'il y a ce Tom, seul portrait un peu complexe, parce que sinon il n'y aurait rien à retenir ici tant les acteurs sont juste esquissés, sans intérêt.
Côté critique d'une société, autant aller voir de vrais auteurs, à commencer par Balzac.
Finalement, toutes ces pages pour apprendre que Gatsby est... amoureux ! C'est aussi creux que ça, aussi médiocre. Quand un auteur n'a pas d'idée, il écrit une histoire d'amour. Ici, cela aurait pu être intéressant parce qu'en fait d'amour il ne s'agit que de vanité, mais malheureusement côté scénario, on est dans du "Citizen Ken" raté : un pauvre tombe amoureux d'une riche, fait tout pour devenir riche, et une fois riche veut reconquérir la belle qui s'est mariée entre temps : si-si : le scénario est aussi con-con que ça, du pure Editions Arlequin. de la même façon que l'objet transitoire est utile si le parent est absent, ce genre de romance n'est attractive qu'aux fleurs desséchées.
Alors, que retenir ? Peut être le côté enfant perdu du personnage de Gatsby, qui croit pouvoir revenir dans le passé, retrouver les sentiments tels qu'ils étaient des années plus tôt, les lieux de fête après la fête, ce que le vide et le silence nous apprennent de la vanité des hommes.
Voilà encore un ouvrage dont j'attendais beaucoup. Et cela commençait d'ailleurs pas mal : un mystérieux milliardaire, dont on subodore le caractère hors-la-loi de la réussite, organise des fêtes fastueuses dans sa fabuleuse demeure...
Pourquoi cet étrange bonhomme agit-il ainsi ? Et d'où vient cet argent qui coule à flot ?
Côté galerie de personnages, tous sont des êtres creux, ivres de vanité, seulement soucieux du regard social, de l'argent. Heureusement qu'il y a ce Tom, seul portrait un peu complexe, parce que sinon il n'y aurait rien à retenir ici tant les acteurs sont juste esquissés, sans intérêt.
Côté critique d'une société, autant aller voir de vrais auteurs, à commencer par Balzac.
Finalement, toutes ces pages pour apprendre que Gatsby est... amoureux ! C'est aussi creux que ça, aussi médiocre. Quand un auteur n'a pas d'idée, il écrit une histoire d'amour. Ici, cela aurait pu être intéressant parce qu'en fait d'amour il ne s'agit que de vanité, mais malheureusement côté scénario, on est dans du "Citizen Ken" raté : un pauvre tombe amoureux d'une riche, fait tout pour devenir riche, et une fois riche veut reconquérir la belle qui s'est mariée entre temps : si-si : le scénario est aussi con-con que ça, du pure Editions Arlequin. de la même façon que l'objet transitoire est utile si le parent est absent, ce genre de romance n'est attractive qu'aux fleurs desséchées.
Alors, que retenir ? Peut être le côté enfant perdu du personnage de Gatsby, qui croit pouvoir revenir dans le passé, retrouver les sentiments tels qu'ils étaient des années plus tôt, les lieux de fête après la fête, ce que le vide et le silence nous apprennent de la vanité des hommes.
