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Critique de Tandarica


Pour rappel : « jachère » = état d'une terre labourable qu'on laisse reposer temporairement en ne lui faisant pas porter de récolte afin qu'elle produise ensuite abondamment. Par analogie, état d'une chose ou d'une personne dont on ne tire pas parti, à qui l'on ne demande pas ce qu'elle pourrait donner. 

Le poète nous donne ici tout simplement envie « De fredonner le mot complicité/ Jusqu'à la jointure de la vie » (p. 26).

La mer avec son goût doucement salé, la terre avec ses bienheureuses semailles et ses diverses plantes poétiques (je ne connaissais pas la ficaire) pour chanter l'amour charnel, l'amour rêvé et réel, l'amour qui se déclare et se déclame, les baisers fougueux et toujours ces « paroles complices ».
C'est tout ce que j'aime dans l'amour, la complicité de corps et d'esprit ! « Coeur déployé/Corps brûlant » (p. 46)

Il y a ensuite l'amour filial et ce texte final en prose « Les MOTS qui BLESSENT » judicieuse mise au point à découvrir également.

Bravo Alain !
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