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Critique de POY1
France-sur-mer est un plaidoyer pour une prise de conscience politique sur l'importance de la mer pour la France et les Français.
Peu de nos gouvernants passés ont compris que notre pays n'est pas qu'un hexagone terrestre, c'est surtout un empire maritime qui s'étire sur tous les océans du monde. Deuxième pays en superficie maritime derrière les Etats-Unis, la France délaisse les choses de la mer et par la même occasion ses départements et communautés outre-mer au profit d'un centrisme parisien.
La France néglige ses richesses, innove en matière d'idée de protection des océans mais ne se donne pas les moyens, n'investie pas dans l'exploitation raisonnée des océans, etc.
Les auteurs sont de parti pris pour une politique de la mer qui tirerait du marasme des solutions éculées notre beau pays en s'appuyant sur nos côtes et territoires. Marin, je suis probablement trop sensible à ce discours mais la vérité est probablement là parmi les évidences ou les propositions parfois délirantes des deux rapporteurs de ce texte. Mais l'idée est là.
Ce chantier n'intéresse toujours pas, probablement parce que ce qui se passe en mer n'est pas visible. Tout l'intérêt de cet essai est de porter à notre connaissance les opportunités. Je sais que je suis subjectif dans ce billet.
« La mer ? C'est ce que les Français ont dans le dos quand ils sont sur la plage [Eric Tabarly] ». A méditer.
Peu de nos gouvernants passés ont compris que notre pays n'est pas qu'un hexagone terrestre, c'est surtout un empire maritime qui s'étire sur tous les océans du monde. Deuxième pays en superficie maritime derrière les Etats-Unis, la France délaisse les choses de la mer et par la même occasion ses départements et communautés outre-mer au profit d'un centrisme parisien.
La France néglige ses richesses, innove en matière d'idée de protection des océans mais ne se donne pas les moyens, n'investie pas dans l'exploitation raisonnée des océans, etc.
Les auteurs sont de parti pris pour une politique de la mer qui tirerait du marasme des solutions éculées notre beau pays en s'appuyant sur nos côtes et territoires. Marin, je suis probablement trop sensible à ce discours mais la vérité est probablement là parmi les évidences ou les propositions parfois délirantes des deux rapporteurs de ce texte. Mais l'idée est là.
Ce chantier n'intéresse toujours pas, probablement parce que ce qui se passe en mer n'est pas visible. Tout l'intérêt de cet essai est de porter à notre connaissance les opportunités. Je sais que je suis subjectif dans ce billet.
« La mer ? C'est ce que les Français ont dans le dos quand ils sont sur la plage [Eric Tabarly] ». A méditer.
