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Critique de moertzombreur
Labyrinthes
A peine retrouvée, de nouveau perdue, mais cette fois c'est par jalousie que Valérie fuit Chris. Ce dernier, qui a de la suite dans les idées, va la poursuivre dans l'"antre " d'un Tapir humanoïde, autre personnage marquant de cette série, une sorte de parrain maffieu et criminel, ce dernier est accompagné par une jeune cyborgue, dont les charmes apparent cachent une arme léthale : elle est capable de cracher du feu. Les péripéties sont une fois de plus complètement azimutées (Valérie est retrouvée dans un show tout à fait troublant) par l'imagination débordante de Forest, par son humour aussi, et le beau dessin de Gillon. On remarque aussi un fait essentiel, plus il est entouré de femmes et plus les emmerdes se multiplient.
A peine retrouvée, de nouveau perdue, mais cette fois c'est par jalousie que Valérie fuit Chris. Ce dernier, qui a de la suite dans les idées, va la poursuivre dans l'"antre " d'un Tapir humanoïde, autre personnage marquant de cette série, une sorte de parrain maffieu et criminel, ce dernier est accompagné par une jeune cyborgue, dont les charmes apparent cachent une arme léthale : elle est capable de cracher du feu. Les péripéties sont une fois de plus complètement azimutées (Valérie est retrouvée dans un show tout à fait troublant) par l'imagination débordante de Forest, par son humour aussi, et le beau dessin de Gillon. On remarque aussi un fait essentiel, plus il est entouré de femmes et plus les emmerdes se multiplient.
