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Critique de Steter51
Quelle déception! J'ai choisi ce roman exposé en tête de gondole, encouragé par la quatrième de couverture qui est l'une des rares partie de ce roman qui comprend une succession de phrases qui ont un lien entre elles.
Le "ton" pudiquement qualifié de "décalé" se caractérise par un enchaînement de chapitres, de paragraphes, et parfois de phrases complètement désordonnés, ce qui aboutit à une histoire "sans queue ni tête".
je n'y vois aucune prouesse artistique; la lecture est pénible.
Je n'irai pas jusqu'à affirmer que l'auteur n'a aucun talent littéraire, que chacun est libre d'apprécier ;mais je ne suis, pour ma part, absolument pas réceptif au "style" adopté qui ne me procure aucun plaisir de lecture. Enfin, compte tenu du titre choisi, je regrette que l'auteure ait plus travaillé sur la technique des charpentes que sur les soins psychiatriques sans consentement qui ne me semblent pas véritablement abordés.
Le "ton" pudiquement qualifié de "décalé" se caractérise par un enchaînement de chapitres, de paragraphes, et parfois de phrases complètement désordonnés, ce qui aboutit à une histoire "sans queue ni tête".
je n'y vois aucune prouesse artistique; la lecture est pénible.
Je n'irai pas jusqu'à affirmer que l'auteur n'a aucun talent littéraire, que chacun est libre d'apprécier ;mais je ne suis, pour ma part, absolument pas réceptif au "style" adopté qui ne me procure aucun plaisir de lecture. Enfin, compte tenu du titre choisi, je regrette que l'auteure ait plus travaillé sur la technique des charpentes que sur les soins psychiatriques sans consentement qui ne me semblent pas véritablement abordés.
