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Critique de Acerola13
Un essai de biographie pour mieux comprendre le caricaturiste du Monde que l'on retrouve en première page chaque jour, qui joue à la fois sur des dessins de Plantu et sur un texte agréable à lire d'Éric Fottorino.
Au-delà des dessins tordants de Plantu, le découpage en différents chapitres propres à différents thèmes est très intéressant, puisqu'il révèle des pans inconnus du grand public du métier de dessinateur pour un journal, et des évolutions de ce dernier avec l'apparition d'internet, qui, s'il permet de diffuser plus globalement les informations, vient également à la rescousse de la censure (et hop, une image trouvée sur google plutôt qu'un dessin trop dérangeant!). Internet, c'est aussi un public non habitué aux codes de la caricature qui peut s'en insurger, comme le montrent les réactions très violentes aux caricatures de Mahomet en 2006, date clef dans le monde de la presse d'après Plantu.
Enfin, toutes ces caricatures nous renvoient aussi à l'histoire houleuse de la politique française et à ses déboires, et relativisent ceux d'aujourd'hui...Bien que je ne sache s'il vaut mieux en rire qu'en pleurer!
Au-delà des dessins tordants de Plantu, le découpage en différents chapitres propres à différents thèmes est très intéressant, puisqu'il révèle des pans inconnus du grand public du métier de dessinateur pour un journal, et des évolutions de ce dernier avec l'apparition d'internet, qui, s'il permet de diffuser plus globalement les informations, vient également à la rescousse de la censure (et hop, une image trouvée sur google plutôt qu'un dessin trop dérangeant!). Internet, c'est aussi un public non habitué aux codes de la caricature qui peut s'en insurger, comme le montrent les réactions très violentes aux caricatures de Mahomet en 2006, date clef dans le monde de la presse d'après Plantu.
Enfin, toutes ces caricatures nous renvoient aussi à l'histoire houleuse de la politique française et à ses déboires, et relativisent ceux d'aujourd'hui...Bien que je ne sache s'il vaut mieux en rire qu'en pleurer!
