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Critique de izabulle
Cet ouvrage de 40 pages aborde avec pédagogie la théorie de l'évolution, partant de l'apparition de la première bactérie sur terre, aux dinausaures, pour conclure sur les hommes.
Le point fort de ce livre est clairement les illustrations, qui sont nombreuses et très colorées. de ce fait, cela permet d'accrocher à la lecture des enfants même en deçà de 9 ans, qui pourront tout de même visuellement suivre et appréhender les notions biologiques.
Minibulle a d'ailleurs 8 ans et si la question de l'apparition de la cellule eucaryote, marquant le démarrage de la vie sur terre lui est passée un peu au dessus de la tête, il a quand même pu assimiler énormément d'information. L'homme de Florès l'a notamment fait sourire, me disant qu'il lui ressemblait.
La partie sur les singes nous a également beaucoup plu et je ne savais d'ailleurs pas que les scientifiques marquaient comme une évolution biologique, les singes n'ayant pas de queue et possédant donc une colonne vertébrale d'avantage redressée.
Pour Minibulle et moi, le meilleur moment fut la fin de l'ouvrage, où est présenté sur une double page un arbre généalogique de l'évolution. Nous retrouvons ainsi toutes ces magnifiques bactéries, cette faune et cette flore, qui constituent notre patrimoine génétique. Cette lecture nous invite implicitement à d'avantage d'humilité et de respect envers cette terre, qui a su nous façonner tels que nous sommes aujourd'hui.
Le point fort de ce livre est clairement les illustrations, qui sont nombreuses et très colorées. de ce fait, cela permet d'accrocher à la lecture des enfants même en deçà de 9 ans, qui pourront tout de même visuellement suivre et appréhender les notions biologiques.
Minibulle a d'ailleurs 8 ans et si la question de l'apparition de la cellule eucaryote, marquant le démarrage de la vie sur terre lui est passée un peu au dessus de la tête, il a quand même pu assimiler énormément d'information. L'homme de Florès l'a notamment fait sourire, me disant qu'il lui ressemblait.
La partie sur les singes nous a également beaucoup plu et je ne savais d'ailleurs pas que les scientifiques marquaient comme une évolution biologique, les singes n'ayant pas de queue et possédant donc une colonne vertébrale d'avantage redressée.
Pour Minibulle et moi, le meilleur moment fut la fin de l'ouvrage, où est présenté sur une double page un arbre généalogique de l'évolution. Nous retrouvons ainsi toutes ces magnifiques bactéries, cette faune et cette flore, qui constituent notre patrimoine génétique. Cette lecture nous invite implicitement à d'avantage d'humilité et de respect envers cette terre, qui a su nous façonner tels que nous sommes aujourd'hui.
