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Critique de Cyrlight


Ce septième tome de Mushoku Tensei se place sous le signe de l'émotion. Après quatre ans de séparation, le chemin de Rudeus croise enfin celui de son père, mais les retrouvailles ne sont pas exactement telles que le garçon avait osé l'espérer…

Que dire de ce tome, si ce n'est qu'il n'y a rien à ajouter au résumé ? Les retrouvailles entre Paul et Rudeus sont bien écrites, les émotions sont parfaitement retranscrites et la tension lors des disputes est palpable, mais c'est tout ce qu'il se passe. Déjà que je trouvais que l'intrigue ne progressait pas…

C'est dommage, parce que la relation père-fils est vraiment bien traitée, mais je l'aurais sans doute plus appréciée à sa juste valeur si je n'attendais pas depuis le début que l'histoire décolle enfin. Les espoirs que j'avais fondés il y a deux-trois tomes ont laissé place à la désillusion, et je ne pense pas poursuivre ce manga quand j'aurai terminé les deux qu'il me reste en ma possession.

Il manque vraiment à ce récit un solide fil conducteur qui capte l'attention et donne envie de se précipiter sur les tomes suivants pour en connaître le dénouement. À ce stade, je ne suis même pas pas certaine d'avoir compris où le scénario était censé nous mener. J'aurais dans un premier temps dit à cette Académie évoquée dans le premier tome, mais les péripéties s'enchaînent tellement vite sans réelle logique que je ne suis plus sûre de rien.
Lien : https://leslecturesdecyrligh..
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