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Critique de mimouski
Toujours agréablement surprise par les nouveaux one-shots d'Akata, je me suis laissée tenter par celui-ci avec ses traits si différents comparés aux autres classiques shojo. L'auteure a tapé fort dans ce one-shot pour y intégrer beaucoup de thématiques sociétales et familiales.
Nami est grande gueule et dit tout haut ce que les autres pensent tout bas. La rencontre avec son nouveau voisin qui s'avère être son professeur ainsi qu'avec son fils va être explosive. On sent la hâte de l'auteure à nous faire rentrer dans le sujet (ça reste un one-shot). J'ai beaucoup aimé le petit Kenta qui s'ouvre petit à petit comme une jolie fleur grâce à Nami et son franc parler.
Il y a des points positifs à ce condensé d'événements mais j'ai trouvé que tout était trop précipité. A la fin de l'histoire, j'ai eu une sensation de trop peu (agrémenté d'un petit voyage TGV Shinkansen). Un chouia décevant pour un beau potentiel.
Nami est grande gueule et dit tout haut ce que les autres pensent tout bas. La rencontre avec son nouveau voisin qui s'avère être son professeur ainsi qu'avec son fils va être explosive. On sent la hâte de l'auteure à nous faire rentrer dans le sujet (ça reste un one-shot). J'ai beaucoup aimé le petit Kenta qui s'ouvre petit à petit comme une jolie fleur grâce à Nami et son franc parler.
Il y a des points positifs à ce condensé d'événements mais j'ai trouvé que tout était trop précipité. A la fin de l'histoire, j'ai eu une sensation de trop peu (agrémenté d'un petit voyage TGV Shinkansen). Un chouia décevant pour un beau potentiel.
