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Critique de Cosyra
C'est par curiosité que j'avais glissé « T'as qu'à maigrir T1 » dans ma liste de souhaits Amazon. Comme toujours, je m'étais basée sur le titre et la couverture, sans lire le synopsis. Je ne savais donc pas vraiment à quoi m'attendre et, après lecture, je dirais simplement que je suis très, très mitigée et que j'ai un peu de mal à comprendre l'engouement autour de ce roman et ses notes aussi hautes.
« T'as qu'à maigrir T1 » est un roman tranche de vie, comme j'aime les appeler, dans lequel nous rencontrant Slim, une jeune femme obèse, en couple et maman d'un petite fille (éxécrable). Cependant, un beau jour, son compagnon décide de faire ses valises et laisse Slim en plan avec sa fille. Slim décide alors de prendre sa vie en main et de sortir de l'obésité grâce à suivi chez Commando Gunter, la boite du compagnon de sa mère. Elle sera alors coachée par Ulrick, le fils de ce dernier, qui ne va pas la ménager.
Je pense que mon résumé est correct et n'en dévoile pas trop.
Maintenant, je voudrais pointer du doigt LE plus gros défaut de ce roman : l'écriture. Je ne me risquerais pa à parler des fautes et des coquilles, j'en fais moi-même beaucoup et je sais que la correction par un professionnel est un réel coût que tous les auteurs autoédités ne peuvent pas se permettre mais, quand même !
L'écriture se veut cool et décontractée, on est plus sur un français oral qu'écrit si vous voulez, mais c'est à la limite de lisible à certains moments. J'ai surtout eu l'impression que l'auteur manquait réellement de vocabulaire. Je ne compte pas le nombre de fois où l'adjectif « sexy » a été utilisé pour décrire un des personnages principaux.
S'ajoute à cela un ramassi de clichés plus gros les uns que les autres : la « grosse » qui n'avait pas confiance en elle qui se retrouve adulée par tous les beaux mecs qu'elle croise quand elle passe sous la barre des 100kg, le beau brrun ténébreux au passé mystérieux (qui est incroyablement lunatique, la « grosse » boulet de service, la romance avec le coach, le fait que Slim devienne mannequin grande taille, etc, etc. Franchement, il y en a beaucoup, mais je ne peux pas trop en dire sans spoller !
Et puis mince, cette romance est malsaine ! le gars, il est beau, il est sexy (c'est assez souvent répété), il est insultant, intolérant et irrespectueux mais c'est le beau gosse de l'histoire donc Slim revient toujours vers lui… Ce n'est pas romantique ça, c'est triste à lire.
Enfin bref, passons aux points positifs : la couverture est sympa, ça parle librement d'obésité bien que ça reste, je trouve, très superficiel. Quoi je puisse dire, je me suis attachée à Slim et ses galères bien que j'avais envi de lui foutre des claques à certains moments : Ho, ce type est un gros c*nnard, je ne veux le voir… Ho, un pénis !
Enfin bref, « T'as qu'à maigrir » est un roman qui peut avoir du potentiel, mais tous ces petits trucs plus agaçant les uns que les autres le transforme en véritable navet. Navet qui se lit, oui, mais qu'on peut tous aussi vite oublier.
« T'as qu'à maigrir T1 » est un roman tranche de vie, comme j'aime les appeler, dans lequel nous rencontrant Slim, une jeune femme obèse, en couple et maman d'un petite fille (éxécrable). Cependant, un beau jour, son compagnon décide de faire ses valises et laisse Slim en plan avec sa fille. Slim décide alors de prendre sa vie en main et de sortir de l'obésité grâce à suivi chez Commando Gunter, la boite du compagnon de sa mère. Elle sera alors coachée par Ulrick, le fils de ce dernier, qui ne va pas la ménager.
Je pense que mon résumé est correct et n'en dévoile pas trop.
Maintenant, je voudrais pointer du doigt LE plus gros défaut de ce roman : l'écriture. Je ne me risquerais pa à parler des fautes et des coquilles, j'en fais moi-même beaucoup et je sais que la correction par un professionnel est un réel coût que tous les auteurs autoédités ne peuvent pas se permettre mais, quand même !
L'écriture se veut cool et décontractée, on est plus sur un français oral qu'écrit si vous voulez, mais c'est à la limite de lisible à certains moments. J'ai surtout eu l'impression que l'auteur manquait réellement de vocabulaire. Je ne compte pas le nombre de fois où l'adjectif « sexy » a été utilisé pour décrire un des personnages principaux.
S'ajoute à cela un ramassi de clichés plus gros les uns que les autres : la « grosse » qui n'avait pas confiance en elle qui se retrouve adulée par tous les beaux mecs qu'elle croise quand elle passe sous la barre des 100kg, le beau brrun ténébreux au passé mystérieux (qui est incroyablement lunatique, la « grosse » boulet de service, la romance avec le coach, le fait que Slim devienne mannequin grande taille, etc, etc. Franchement, il y en a beaucoup, mais je ne peux pas trop en dire sans spoller !
Et puis mince, cette romance est malsaine ! le gars, il est beau, il est sexy (c'est assez souvent répété), il est insultant, intolérant et irrespectueux mais c'est le beau gosse de l'histoire donc Slim revient toujours vers lui… Ce n'est pas romantique ça, c'est triste à lire.
Enfin bref, passons aux points positifs : la couverture est sympa, ça parle librement d'obésité bien que ça reste, je trouve, très superficiel. Quoi je puisse dire, je me suis attachée à Slim et ses galères bien que j'avais envi de lui foutre des claques à certains moments : Ho, ce type est un gros c*nnard, je ne veux le voir… Ho, un pénis !
Enfin bref, « T'as qu'à maigrir » est un roman qui peut avoir du potentiel, mais tous ces petits trucs plus agaçant les uns que les autres le transforme en véritable navet. Navet qui se lit, oui, mais qu'on peut tous aussi vite oublier.
