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Critique de Kochka94
Suite directe du premier tome, il faut absolument lire le premier tome pour comprendre tout ce qui se passe dans ce second opus. Et ça démarre très fort.
Difficile d'ailleurs de parler de ce second tome sans divulgâcher cette superbe histoire de renaissance, d'espoir, d'acceptation, de création, d'amitié et d'amour.
Une fois de plus, Neil m'a touchée en plein coeur, avec ces deux hommes blessés par la vie, avec leur rencontre totalement improbable et pourtant tellement évidente, avec leurs blessures si profondes qu'on se demande si elles pourront un jour être cicatrisées, avec pour l'un cette terreur de vivre vraiment tel qu'il est et ce qu'il veut au plus profond de lui et pour l'autre cette fureur de vivre au grand jour, en pleine lumière, alors qu'on a tellement voulu éteindre sa lumière.
On les voit se rapprocher peu à peu, doucement, s'apprivoiser, tout en sachant que ça va exploser, forcément, ça ne peut qu'exploser. Et quand ça explose, forcément, ça fait mal, très mal. Mais c'est peut-être finalement ce qu'il fallait pour que ça fonctionne, la relation était belle mais un peu bancale, un peu inégale.
J'ai aimé voir Matt renaître de ses cendres, enfin s'envoler, sous l'oeil bienveillant de Yanis, de Fred, de Franck, de ses amis (les vrais amis, pas ceux d'avant)... et j'ai aimé voir Led se fermer complètement pour finalement accepter l'évidence, aidé en cela par la fidèle Az.
J'ai adoré détester Mandy, sur laquelle je ne vais pas m'étaler (bien qu'il y ait certaines choses que j'aurais envie d'étaler sur son visage...). Très pertinent d'avoir abordé ce sujet, finalement peu connu dans ce sens, mais qui malheureusement existe.
Et quel plaisir que ce petit stage de fin, ce petit clin d'oeil que j'attendais tant.
J'ai trainé d'ailleurs pour lire ce tome 2, autant impatiente que j'étais de connaître la suite de l'histoire (on en parle, Neil, de la fin du premier tome ?), que réticente à en connaître la fin, parce que justement, ça veut dire que c'est la fin.
C'est ça, l'effet Neil.
Bref, encore une réussite, encore une fois Neil sait nous saisir par le coeur pour nous entortiller autour de sa plume, nous laissant bouleversés, heureux et reconnaissants d'avoir eu l'impression de partager un moment la vie de ces hommes, avec toujours cette sensation de quitter de vieux amis quand on voit apparaître le mot FIN.
Difficile d'ailleurs de parler de ce second tome sans divulgâcher cette superbe histoire de renaissance, d'espoir, d'acceptation, de création, d'amitié et d'amour.
Une fois de plus, Neil m'a touchée en plein coeur, avec ces deux hommes blessés par la vie, avec leur rencontre totalement improbable et pourtant tellement évidente, avec leurs blessures si profondes qu'on se demande si elles pourront un jour être cicatrisées, avec pour l'un cette terreur de vivre vraiment tel qu'il est et ce qu'il veut au plus profond de lui et pour l'autre cette fureur de vivre au grand jour, en pleine lumière, alors qu'on a tellement voulu éteindre sa lumière.
On les voit se rapprocher peu à peu, doucement, s'apprivoiser, tout en sachant que ça va exploser, forcément, ça ne peut qu'exploser. Et quand ça explose, forcément, ça fait mal, très mal. Mais c'est peut-être finalement ce qu'il fallait pour que ça fonctionne, la relation était belle mais un peu bancale, un peu inégale.
J'ai aimé voir Matt renaître de ses cendres, enfin s'envoler, sous l'oeil bienveillant de Yanis, de Fred, de Franck, de ses amis (les vrais amis, pas ceux d'avant)... et j'ai aimé voir Led se fermer complètement pour finalement accepter l'évidence, aidé en cela par la fidèle Az.
J'ai adoré détester Mandy, sur laquelle je ne vais pas m'étaler (bien qu'il y ait certaines choses que j'aurais envie d'étaler sur son visage...). Très pertinent d'avoir abordé ce sujet, finalement peu connu dans ce sens, mais qui malheureusement existe.
Et quel plaisir que ce petit stage de fin, ce petit clin d'oeil que j'attendais tant.
J'ai trainé d'ailleurs pour lire ce tome 2, autant impatiente que j'étais de connaître la suite de l'histoire (on en parle, Neil, de la fin du premier tome ?), que réticente à en connaître la fin, parce que justement, ça veut dire que c'est la fin.
C'est ça, l'effet Neil.
Bref, encore une réussite, encore une fois Neil sait nous saisir par le coeur pour nous entortiller autour de sa plume, nous laissant bouleversés, heureux et reconnaissants d'avoir eu l'impression de partager un moment la vie de ces hommes, avec toujours cette sensation de quitter de vieux amis quand on voit apparaître le mot FIN.
