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Critique de Sea
Ava Gardner
Une actrice américaine, une femme d'une nature particulière, quelqu'un qui savait prendre la vie comme elle vient.
Elle décide de livrer tous les secrets de sa vie de Star. Ainsi, elle parle de ses amours assez tumultueux avec Mickey Rooney, Artie Shaw puis Franck Sinatra. Elle reprend presque toute sa filmographie et nous conte les milles et un détails des tournages passés aux quatre coins du monde. Alors tout l'univers d'Ava nous est offert, sa vie s'affiche avec franchise, humour, sans fausse modestie. Et bien que sa vie, on le devine fut parfois mélodramatique, elle persiste sans se se plaindre, un drame quel drame? Elle fait part de ses sentiments, elle se souvient parfois avec rage et toujours en y mêlant la passion qui l'anima. Car c'est bien de cela qu'il est question, la passion d'une femme pour sa vie de modèle et d'actrice. On y rencontre son agacement pour la machine médiatique donnant à manger, par les scandales supposés, aux communs des mortels. Mais sa passion reste plus forte ses nerfs sont suffisants pour garder les pieds sur terre et finalement “se foutre” de ce qui peut être dit ou écrit. L'essentiel est de rester intègre face à tous ces tourbillons de gloire et d'ombres.
Ava l'explique et ses bons amis le savent aussi, elle n'a jamais vraiment cherché la célébrité, issue d'un milieu modeste elle a plutôt préféré fuir Hollywood dés qu'elle en a eu le pouvoir. Femme fragile, Ava a surmonté ses craintes pour monter au sommet sans jamais se prendre véritablement au sérieux. Et puis il y a aussi la terrible et sans doute passionnée relation entre Ava et Howard Hughes, un homme influent, ne sachant pas ce que signifie le mot "non", pour elle il fut patient, dispendieux et scandaleusement entêté et espion de sa vie. Elle lui fit perdre la tête.
le style n'est pas véritablement littéraire. le texte nous entraîne. Une ambiance ancienne, des décors, des manières d'antan surgissent. Une atmosphère Hollywoodienne transpire, elle est magnifiquement distrayante. La vie “du plus bel animal du monde” pleine de rebondissements de rencontres insolites de situations comiques et parfois déraisonnables, s'offre en un peu plus de trois cents pages.
Une actrice américaine, une femme d'une nature particulière, quelqu'un qui savait prendre la vie comme elle vient.
Elle décide de livrer tous les secrets de sa vie de Star. Ainsi, elle parle de ses amours assez tumultueux avec Mickey Rooney, Artie Shaw puis Franck Sinatra. Elle reprend presque toute sa filmographie et nous conte les milles et un détails des tournages passés aux quatre coins du monde. Alors tout l'univers d'Ava nous est offert, sa vie s'affiche avec franchise, humour, sans fausse modestie. Et bien que sa vie, on le devine fut parfois mélodramatique, elle persiste sans se se plaindre, un drame quel drame? Elle fait part de ses sentiments, elle se souvient parfois avec rage et toujours en y mêlant la passion qui l'anima. Car c'est bien de cela qu'il est question, la passion d'une femme pour sa vie de modèle et d'actrice. On y rencontre son agacement pour la machine médiatique donnant à manger, par les scandales supposés, aux communs des mortels. Mais sa passion reste plus forte ses nerfs sont suffisants pour garder les pieds sur terre et finalement “se foutre” de ce qui peut être dit ou écrit. L'essentiel est de rester intègre face à tous ces tourbillons de gloire et d'ombres.
Ava l'explique et ses bons amis le savent aussi, elle n'a jamais vraiment cherché la célébrité, issue d'un milieu modeste elle a plutôt préféré fuir Hollywood dés qu'elle en a eu le pouvoir. Femme fragile, Ava a surmonté ses craintes pour monter au sommet sans jamais se prendre véritablement au sérieux. Et puis il y a aussi la terrible et sans doute passionnée relation entre Ava et Howard Hughes, un homme influent, ne sachant pas ce que signifie le mot "non", pour elle il fut patient, dispendieux et scandaleusement entêté et espion de sa vie. Elle lui fit perdre la tête.
le style n'est pas véritablement littéraire. le texte nous entraîne. Une ambiance ancienne, des décors, des manières d'antan surgissent. Une atmosphère Hollywoodienne transpire, elle est magnifiquement distrayante. La vie “du plus bel animal du monde” pleine de rebondissements de rencontres insolites de situations comiques et parfois déraisonnables, s'offre en un peu plus de trois cents pages.
