Pluralité de "elle" en fuite, monologue de l'immobilité, de ce que prend la rue est l'ivresse, les attentions et la prostitution. Dans un beau corps à corps à l'écriture,
Fanny Garin traque les sensations, leur absence de mots, les plus physiques, leur impact sur la perception de soi dans cette invisibilité pleine de regard que seraient les jours à la rue.
La porte de la chapelle ou l'empathique capture, toujours recommencée, du personnage.
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