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Critique de Kassuatheth
Je n'avais jamais lu de blogues avant de lire ce livre et, me voilà à nouveau confronté à faire la critique d'un genre qui ne m'est pas familier.
Je me demandais comment commencer ma critique. L'auteur m'a donné un coup de main : critiquer "un roman encore ça va, c'est la même histoire pendant des centaines de pages, il y a une intrigue, mais là, quatre- vingt-deux chroniques, difficile de résumer... " et de critiquer.
En effet, il n'y a pas d'intrigue. Il n'y a pas de suspense. Il n'y a rien qui vous incite à continuer quand vous passez une partie à vide comme pour un roman. Il n'y a que des opinions sur certaines réalités de la vie. Vous êtes d'accord ou vous ne l'êtes pas. Vous aimez sa façon de le dire ou vous ne l'aimez pas.
J'ai bien aimé ses négociations avec les souris et les blattes, ses craintes des rideaux de douche fermes, son analyse du verbe "se morfondre", sur la disparition des petits commerçants face aux chaînes, sa réalité d'crivain ... Bref, j'ai aimé de nombreux blogues... Mais pas tous. C'est un risque que l'auteur a pris en écrivant ce livre et c'est un risque que vous prenez en le lisant.
Je souhaite à l'auteur que des amateurs de blogues lisent son livre de façon à ce que les futurs lecteurs sachent à quoi s'attendre.
Comme vous remarquez, je n'ai pas noté. Je laisse une chance au coureur. Mais, est-ce que moi je lirais une autre chronique ? Non.
Je me demandais comment commencer ma critique. L'auteur m'a donné un coup de main : critiquer "un roman encore ça va, c'est la même histoire pendant des centaines de pages, il y a une intrigue, mais là, quatre- vingt-deux chroniques, difficile de résumer... " et de critiquer.
En effet, il n'y a pas d'intrigue. Il n'y a pas de suspense. Il n'y a rien qui vous incite à continuer quand vous passez une partie à vide comme pour un roman. Il n'y a que des opinions sur certaines réalités de la vie. Vous êtes d'accord ou vous ne l'êtes pas. Vous aimez sa façon de le dire ou vous ne l'aimez pas.
J'ai bien aimé ses négociations avec les souris et les blattes, ses craintes des rideaux de douche fermes, son analyse du verbe "se morfondre", sur la disparition des petits commerçants face aux chaînes, sa réalité d'crivain ... Bref, j'ai aimé de nombreux blogues... Mais pas tous. C'est un risque que l'auteur a pris en écrivant ce livre et c'est un risque que vous prenez en le lisant.
Je souhaite à l'auteur que des amateurs de blogues lisent son livre de façon à ce que les futurs lecteurs sachent à quoi s'attendre.
Comme vous remarquez, je n'ai pas noté. Je laisse une chance au coureur. Mais, est-ce que moi je lirais une autre chronique ? Non.
