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Critique de GaelM
Passionnants récits. le rôle masculin est multiple, très variable d'une culture à l'autre (du machisme mexicain le plus exacerbé à l'androgynité poussée des Tahitiens ou Semai). Pour autant, finalement, des points communs frappants apparaissent, et l'auteur finit par conclure que la masculinité est visiblement le produit de deux élements : individuellement, le dépassement de ses pulsions infantiles « parasites » et l'obtention d'un statut plus productif que consommateur, et collectivement, une stratégie de survie adaptée aux exigences du milieu. Finalement, le père est amour comme la mère, simplement par des voies plus indirectes, sa rudesse et brutalité pouvant être un détour nécessaire pour prendre soin des siens.
