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Critique de aa67
Le M16 et Londres en trame de fond.
Une libraire, lors de l'émission "La littérature francophone" du samedi sur France Inter ayant présenté ce thriller comme une petite pépite, je m'attendais à rencontrer une autrice prometteuse.
Dès les premières pages on se dit que le tempo est parfait, les descriptions bien intégrés, les personnages bien présentés, les crimes en nombre installés et l'écriture fluide. Oui il y a un mais que j'ai perçu en avançant dans la lecture. Ava Glass connait son sujet, elle semble adorer les sujets de l'espionnage et du contre-espionnage russe et britannique et les présente de telle manière que même un néophyte pourra la suivre dans son enquête. Elle allège le thème en y mêlant régulièrement la vie personnelle d'Emma Makepeace. Là-dessus rien à redire. Mais ses personnages sont très, comment dire, traditionnels.
Bref, pour un première lecture d'espionnage, "Alias Emma" est parfait, mais de mon côté je m'attendais à quelque chose de plus marquant. Oui c'est bien cela, ce polar ne me marquera pas.
Quelques mots de l'histoire.
La très jeune Emma Makepeace est nouvelle agente du M16 britannique à Londres et sera de suite plongée dans une affaire russe qui prend des allures de crimes commis à la pelle. Au milieu de cette terreur, elle est envoyée seule sur le terrain et doit exfiltrer un couple de scientifiques russes, réfugiés en Angleterre depuis vingt ans et ayant collaborés depuis tout ce temps du fond de la campagne du Hampshire. Leur fils, médecin dans un service de pédiatrie de l'Hôpital de Londres, devrait également être protégé et fuir, mais ne veut pas lâcher ses petits chérubins gravement malades. Touchant personnage du même âge qu'Emma.
Commence alors une course poursuite entre russes et britanniques ainsi que quelques plaisants rebondissements entre Londres et Paris.
Les points forts sont l'humanité des personnages principaux, la technologie du M16 qui est au top et adaptée à l'époque actuelle, l'agréable écriture.
Une libraire, lors de l'émission "La littérature francophone" du samedi sur France Inter ayant présenté ce thriller comme une petite pépite, je m'attendais à rencontrer une autrice prometteuse.
Dès les premières pages on se dit que le tempo est parfait, les descriptions bien intégrés, les personnages bien présentés, les crimes en nombre installés et l'écriture fluide. Oui il y a un mais que j'ai perçu en avançant dans la lecture. Ava Glass connait son sujet, elle semble adorer les sujets de l'espionnage et du contre-espionnage russe et britannique et les présente de telle manière que même un néophyte pourra la suivre dans son enquête. Elle allège le thème en y mêlant régulièrement la vie personnelle d'Emma Makepeace. Là-dessus rien à redire. Mais ses personnages sont très, comment dire, traditionnels.
Bref, pour un première lecture d'espionnage, "Alias Emma" est parfait, mais de mon côté je m'attendais à quelque chose de plus marquant. Oui c'est bien cela, ce polar ne me marquera pas.
Quelques mots de l'histoire.
La très jeune Emma Makepeace est nouvelle agente du M16 britannique à Londres et sera de suite plongée dans une affaire russe qui prend des allures de crimes commis à la pelle. Au milieu de cette terreur, elle est envoyée seule sur le terrain et doit exfiltrer un couple de scientifiques russes, réfugiés en Angleterre depuis vingt ans et ayant collaborés depuis tout ce temps du fond de la campagne du Hampshire. Leur fils, médecin dans un service de pédiatrie de l'Hôpital de Londres, devrait également être protégé et fuir, mais ne veut pas lâcher ses petits chérubins gravement malades. Touchant personnage du même âge qu'Emma.
Commence alors une course poursuite entre russes et britanniques ainsi que quelques plaisants rebondissements entre Londres et Paris.
Les points forts sont l'humanité des personnages principaux, la technologie du M16 qui est au top et adaptée à l'époque actuelle, l'agréable écriture.
