Après avoir refermé le livre reste une sensation dérangeante parcequ'on ne peut pas imaginer que la civilisation tient plus par ses règles que par la nature de l' Homme. Qui restera bienveillant sans la Loi ? L'auteur se met à la hauteur des gosses tout en leur attribuant des intentions d'une rare violence réservée aux adultes. Il y aura les sages et les sauvages, qui apportera le salut du groupe ?
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