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Critique de BazaR
Ah Achille, Achille… A force de mépriser l'obstacle, tu te le prends dans la tronche.
Mais t'apprendras donc jamais ?
Par exemple, faut arrêter d'aller acheter des trucs et des machins salvateurs hors de prix chez Vincent Pourcent. La dernière fois, t'as failli te faire bouffer tout cru par un antispasmodique vivant.
Faut plus que tu réagisses au quart de tour et que tu convoques l'armée quand ta télé n'est plus dans ton salon ; c'est peut-être juste qu'elle est chez le réparateur.
Faut que tu t'abstiennes de monter des plans de maboul pour un simple dîner avec Virgule. Elle a pas l'air comme ça, mais un bout de saucisson ça le fait aussi bien.
Tu sais, c'est encore quand tu te laisses aller à l'innocence que tu es le plus efficace. Regarde, rien qu'en passant au mauvais endroit ou en racontant une blague, tu fous en l'air le casse du siècle.
Oh et puis non. Tu sais quoi ? Continue tes âneries, ça me fait marrer en fait.
Mais t'apprendras donc jamais ?
Par exemple, faut arrêter d'aller acheter des trucs et des machins salvateurs hors de prix chez Vincent Pourcent. La dernière fois, t'as failli te faire bouffer tout cru par un antispasmodique vivant.
Faut plus que tu réagisses au quart de tour et que tu convoques l'armée quand ta télé n'est plus dans ton salon ; c'est peut-être juste qu'elle est chez le réparateur.
Faut que tu t'abstiennes de monter des plans de maboul pour un simple dîner avec Virgule. Elle a pas l'air comme ça, mais un bout de saucisson ça le fait aussi bien.
Tu sais, c'est encore quand tu te laisses aller à l'innocence que tu es le plus efficace. Regarde, rien qu'en passant au mauvais endroit ou en racontant une blague, tu fous en l'air le casse du siècle.
Oh et puis non. Tu sais quoi ? Continue tes âneries, ça me fait marrer en fait.
