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Critique de gill
Babiole et Zou ont été chargés par le directeur de la radio-télévision d'interviewer le professeur Nemo, un grand physicien. le soir même ils partent par un temps de chien. Mais égarés sous la pluie et pataugeant dans la boue, ils finissent par embourber leur camionnette aux abords d'un curieux terrain militaire. Zou aperçoit alors, à la lueur d'un éclair, une mystérieuse créature : Une grosse tête qui vole !
Enfin parvenus chez le savant dont ils sont les hôtes pour la nuit, ils apprennent avec stupéfaction qu'il n'a inventé qu'un réflecteur électronique destiné à remplacer les miroirs en donnant un reflet exact au lieu de l'image inversée.
Le mystère de l'homme volant à grosse tête s'épaissit !
Le mauvais s'acharne. La foudre, après avoir rendu le téléphone inutilisable, semble s'être abattue sur leur camionnette qui est en flammes.
Ils ne tardent pas à s'apercevoir que le professeur Nemo leur a menti, ils sont bels et bien prisonniers, sous la garde d'Hermann, un valet patibulaire.
Soudain Babiole semble terrorisée par le tableau accroché au mur. Des yeux, qui ne sont autres que ceux de monsieur Rodolphe, l'homme volant à grosse tête, les observent.
Ayant deviné beaucoup trop de choses, ils sont devenus trop gênants pour rester en bonne santé....
Paru dans le journal de Tintin, en 1962 et 1963, ce récit n'a jamais, à ma connaissance, fait l'objet d'une édition en album avant d'être redécouvert par les éditions Jonas en 1981.
Greg y laisse libre cours à sa fantaisie, nous offrant une sorte de petit polar humoristique très soigné où les personnages sont attachants et les péripéties accrocheuses.
C'est une de ses réalisations qui mérite vraiment d'être redécouverte.
Enfin parvenus chez le savant dont ils sont les hôtes pour la nuit, ils apprennent avec stupéfaction qu'il n'a inventé qu'un réflecteur électronique destiné à remplacer les miroirs en donnant un reflet exact au lieu de l'image inversée.
Le mystère de l'homme volant à grosse tête s'épaissit !
Le mauvais s'acharne. La foudre, après avoir rendu le téléphone inutilisable, semble s'être abattue sur leur camionnette qui est en flammes.
Ils ne tardent pas à s'apercevoir que le professeur Nemo leur a menti, ils sont bels et bien prisonniers, sous la garde d'Hermann, un valet patibulaire.
Soudain Babiole semble terrorisée par le tableau accroché au mur. Des yeux, qui ne sont autres que ceux de monsieur Rodolphe, l'homme volant à grosse tête, les observent.
Ayant deviné beaucoup trop de choses, ils sont devenus trop gênants pour rester en bonne santé....
Paru dans le journal de Tintin, en 1962 et 1963, ce récit n'a jamais, à ma connaissance, fait l'objet d'une édition en album avant d'être redécouvert par les éditions Jonas en 1981.
Greg y laisse libre cours à sa fantaisie, nous offrant une sorte de petit polar humoristique très soigné où les personnages sont attachants et les péripéties accrocheuses.
C'est une de ses réalisations qui mérite vraiment d'être redécouverte.
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