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Critique de Bruxellensia


Que dire de plus qui n'ai déjà été écrit sur ce récit effroyable? Comment un être humain peut-il survivre à ce que Dalia à vécu si ce n'est un mental d'acier? Staline est mort, ses atrocités sont révolues? Pas si sûr. Quand on lit dans la presse que Navalny a été transféré dans une prison dont le lieu n'a pas été révélé, on peut se poser des questions.
Ce récit en deux parties m'a interpellé en tant qu'historienne. Il y a matière à un exercice de critique historique dans la comparaison des deux textes en classe de terminale ou de rhétorique comme on dit chez nous. L'un est écrit en 1949, "à chaud" et celui de 1974 rédigé avec le recul des années. le premier est très précis, extrêmement poignant. le lecture à froid, ne pouvant qu'imaginer la vie terrible de Dalia et ses compagnons infortune. L'autre partie est plus synthétique, plus littéraire. Par contre, le lecteur retrouve toute l'émotion dans l'absurdité des reproches du Parti à ses qualités de médecin, une partir de l'histoire qui forcément ne faisait pas partie du premier récit.
C'est certain, Dalia a été une forte tête, ce qui lui a peut-être sauvé la vie, mais n'a pas empêché le Parti de la broyer, son sort étant réglé d'avance.
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