L'appétit du pire ou Puisque nous sommes voués à vivre en cage autant nous faire croire que nous pouvons changer de fourrures

Un « texte protéiforme » pour deux comédiens dans lequel il est question de notre drôle de « société civile de consommation », donc de chômage, de dépendance télévisuelle, de tabagisme, de travail des femmes, de manifestations et, chaque fois, de culpabilisations et de hausses de prix adaptées à la situation. Serions-nous donc manipulés politiquement ?