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Critique de montmartin
Guillaume, major de la gendarmerie maritime, rêve d'une autre vie, de voir autre chose. Un traumatisme crânien souvenir d'une manifestation à Nouméa, depuis il a des visions prémonitoires, aussi quand il va diner chez son ami Jean-Marc il pressent qu'il va rencontrer Krikor, directeur du bureau des gestions spéciales du ministère de l'Intérieur. Il est venu lui proposer de prendre la direction de Bishop Rock. Un phare, uniquement accessible par hélicoptère, enclave française dans les eaux territoriales britanniques, c'est là que sont détenus les prisonniers aux pathologies psychiatriques graves.
Avant d'embarquer pour un stage de deux mois au phare du Planier pour apprendre à gérer les situations complexes, Guillaume va saluer ses anciens voisins, deux personnes âgées, les Martin, il les trouve décapités, un proverbe albanais a été écrit avec leur sang sur un mur de leur appartement. Bientôt, deux autres sexagénaires sont retrouvés décapités avec un proverbe albanais inscrit sur le mur du salon.
Les deux auteurs sont d'anciens gendarmes, ils savent donc de quoi ils parlent, des corps décapités, des inscriptions mystérieuses écrites avec le sang des victimes, un huis clos dans un phare inaccessible avec deux prisonnières psychopathes, le personnage principal qui a un don de prémonition, voilà le décor planté et le lecteur s'attend à plonger avec délectation dans un bon thriller.
Hélas ! le déroulement de l'histoire n'est pas à la hauteur de l'idée originale de départ. Dès que Guillaume rejoint Bsishop Rock, le récit s'enlise et je me suis perdu dans les dédales du phare. Dans les toutes dernières pages, les efforts des auteurs pour faire rebondir l'histoire aboutissent à un dénouement un peu compliqué à comprendre et bien décevant.
Je remercie les éditions du Venasque de m'avoir fait parvenir de roman.
Lien : http://notreavis.canalblog.c..
Avant d'embarquer pour un stage de deux mois au phare du Planier pour apprendre à gérer les situations complexes, Guillaume va saluer ses anciens voisins, deux personnes âgées, les Martin, il les trouve décapités, un proverbe albanais a été écrit avec leur sang sur un mur de leur appartement. Bientôt, deux autres sexagénaires sont retrouvés décapités avec un proverbe albanais inscrit sur le mur du salon.
Les deux auteurs sont d'anciens gendarmes, ils savent donc de quoi ils parlent, des corps décapités, des inscriptions mystérieuses écrites avec le sang des victimes, un huis clos dans un phare inaccessible avec deux prisonnières psychopathes, le personnage principal qui a un don de prémonition, voilà le décor planté et le lecteur s'attend à plonger avec délectation dans un bon thriller.
Hélas ! le déroulement de l'histoire n'est pas à la hauteur de l'idée originale de départ. Dès que Guillaume rejoint Bsishop Rock, le récit s'enlise et je me suis perdu dans les dédales du phare. Dans les toutes dernières pages, les efforts des auteurs pour faire rebondir l'histoire aboutissent à un dénouement un peu compliqué à comprendre et bien décevant.
Je remercie les éditions du Venasque de m'avoir fait parvenir de roman.
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